5︎ ÉDITION
DU 2 AU 30 NOVEMBRE 2024
À PARIS ET EN ÎLE-DE-FRANCE


Photo Days

Carrousel du Louvre

→ y aller


7/11/2024 – 3/12/2024
jeudi 7/11 dès 10h   ouverture de l’exposition exposition en accès libre, médiation possible sur réservation

Juliette AGNEL

Dahomey Spirit



Juliette Agnel présente un projet inédit qu’elle a réalisé spécifiquement pour l’espace du Carrousel du Louvre dans le cadre d’une carte blanche du festival Photo Days. Durant l’été 2024, elle s’est rendue dans le Jardin d’Essai de la Fondation Zinsou, au Bénin. Elle y découvre sa végétation unique, rare témoignage du Dahomey gap, ce bouleversement climatique qui eut lieu dans cette partie du monde il y a 4 500 ans. Sensible aux forces telluriques, l’artiste s’est frayé un chemin dans ce berceau historique du vaudou pour travailler la nuit en communion avec la nature. Grâce à l’usage de fumée et de lumières de couleurs différentes, elle crée une distance avec son sujet - ces plantes d’une résilience unique - en même temps qu’elle permet une forme de passage vers un monde invisible.

Juliette Agnel et Photo Days s’associent à photo4food pour mettre l’art au service des autres.
Avec nous, soutenez des associations mobilisées contre la pauvreté et la faim : votez pour vos deux photos préférées, elles seront offertes par l’artiste à la fondation ! →


Née en 1973, Juliette Agnel a fait des études d’arts plastiques et d’ethno-esthétique, puis les Beaux-Arts de Paris. Une rencontre avec Jean Rouch l’amène sur les routes de l’Afrique pendant plus de 10 ans. En 2011, elle conçoit et fabrique une machine : la camera obscura numérique avec laquelle elle filme et photographie.

C’est dans une approche philosophique globale que Juliette Agnel s’est mise en quête de la compréhension du monde. Cette exploration la mène du ciel à la terre, des espaces cosmiques aux forces telluriques, en passant sous terre, avec l’exploration de grottes préhistoriques. Elle photographie ce qui est invisible et tente d’ouvrir sur les forces spirituelles qui traversent le monde.



Carrousel du Louvre

instagram @carrouseldulouvre

99 rue de Rivoli · Paris 1er
tous les jours 8h30-20h / sauf mardi 8h30-19h30

exposition en accès libre, médiation possible sur réservation

Fondation des Artistes 
Rotonde Balzac

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2/11/2024 – 30/11/2024
mercredi 13/11 dès 17h   vernissage en présence de l’artiste
accessible uniquement sur réservation

Carline BOURDELAS

Le chef d’œuvre inconnu


À l’invitation de Photo Days, Carline Bourdelas réalise une série pour la Rotonde Balzac sur la folie et le génie de l’artiste en s’inspirant du Chef-d’œuvre inconnu.  Ce court récit d’une soixantaine de pages met en scène un personnage imaginaire, le vieux maître Frenhofer, et deux figures historiques, le flamand François Pourbus et le très jeune Nicolas Poussin. Construit autour du thème de l’œuvre invisible, qui se confond dans l’imaginaire de l’artiste avec une femme dont on ne sait si elle est rêvée ou bien réelle, les photographies de Carline Bourdelas mêlent les plans et créent un chaos d’où jaillissent parfois une figure féminine et l’atelier dans lequel elle apparaît.

Commissariat · Alain Sayag



Carline Bourdelas est une photographe autodidacte. Dès son adolescence, elle réalise des photographies avec un vieil appareil argentique acheté dans une brocante. Ses premières images sont prises dans la rue : scènes du quotidien, étrangeté des choses et des objets, des personnes croisées. Aujourd’hui, la mise en scène et le procédé technique de superposition donnent à son travail une dimension poétique. Elle cherche l’inspiration dans l’imagerie des contes de fées, les tableaux de la Renaissance, ou encore le cinéma.

en savoir plus sur l'artiste : www.carlinebourdelas.photo



Rotonde Balzac · Fondation des Artistes 

www.fondationdesartistes.fr

instagram @fondationdesartistes

01 45 63 59 02

Fondation des Artistes 
Hôtel Salomon de Rothschild
11 rue Berryer · Paris 8e

mardi-samedi 10h-18h
uniquement sur rdv à reservation@photodays.paris

Sorbonne Artgallery

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2/11/2024 – 27/11/2024
mercredi 6/11 dès 18h    vernissage en présence de l'artiste
pass d’entrée gratuit à télécharger sur ce lien

Fatoumata DIABATÉ

Nte bogo daga ye,
je ne suis pas une poterie


Pour sa carte blanche à Sorbonne Artgallery, Fatoumata Diabaté a réalisé une série au Mali durant l’été 2024. Depuis une soixantaine d’années, et particulièrement depuis 2010, le pays est en proie à des conflits géopolitiques. Avec le projet Nte logo saga ye – qui signifie « je ne suis pas de la poterie » en langue bambara – Fatoumata Diabaté rend hommage aux victimes des exactions commises à Ogossagou, village du pays Dogon détruit le 23 mars 2019, où la population entière fut brûlée vive. Munie de la seule arme qu’elle possède, son art, Fatoumata Diabaté nous transporte dans cet « espace victime » et témoigne de la souffrance liée à ce massacre. À travers l’utilisation de la poterie, elle confronte la durabilité de cet objet du quotidien, « brûlé » pour être solidifié, à l’assassinat des habitants, tués par le feu. Elle aborde cette série comme un réel témoignage, exprimant ainsi à la fois violence et résistance.



Née en 1980, Fatoumata Diabaté est une portraitiste engagée qui revendique un art identitaire ancré dans la culture de son pays d’origine, le Mali. Questionnant la notion d’humanité et les rapports de force, elle manie des symboles puissants dans le but d’éveiller les consciences. Aujourd’hui reconnue internationalement, elle se focalise principalement sur la représentation des femmes et des jeunes générations entre le Mali et la France.


mercredi 6/11 
dès 15h-20h
Studio Photo - Portraits 
accès libre avec le pass d’entrée sur ce lien



Sorbonne Artgallery

L’INAPERÇU studio

→ 32 rue de Montmorency


13/11/2024 – 24/11/2024
jeudi 14/11 18h30-20h30      vernissage en présence de l’artiste

Letizia LE FUR

Le Beau Jeu


Lauréate 2023 du Grand Prix Paris je t’aime × Photo Days
Exposition de la commande sur le thème “Paris, Jeux”

En résonance avec les Jeux olympiques de Paris 2024, Letizia Le Fur célèbre les « petits jeux » du quotidien, ces moments fugaces qui révèlent l’énergie vibrante de la ville. Inspirée par le philosophe Mathieu Triclot, qui affirme que « jouer, c’est devenir humain », elle explore comment ces instants façonnent notre lien à l’espace urbain. Après six mois passés dans Paris et sa banlieue, elle remarque : « Les adultes jouent moins que je pensais, mais j’ai découvert quelques irréductibles du jeu ». Pour son projet, elle opte pour un format carré, évoquant ces jeux qui ont survécu à l’arrivée du numérique : les plateaux de jeu, la marelle, les jetons de Scrabble... Paris, d’ordinaire ville-musée, s’efface pour devenir l' humble écrin de notre liaison intime et ludique au territoire.


Letizia Le Fur s’est formée à la peinture aux Beaux-Arts de Tours. Imprégnée de cet enseignement, elle se tourne vers la photographie, qu’elle traite par touches de couleurs pour transcender le réel, à la recherche d’harmonie et de beauté. Fascinée par les mythes, elle développe ses réflexions sur la place de l’être humain dans son environnement premier, plongeant ainsi le spectateur dans un monde irréel et fantasmé.


L’INAPERÇU studio

www.linapercu.com

instagram @linapercuparis

01 42 72 69 81
contact@linapercu.fr

L’INAPERÇU studio
32 rue de Montmorency · Paris 3e
mardi-dimanche 11h-19h

accès libre

L'Arlequin

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4/11/2024 – 30/11/2024
lundi 4/11 dès 18h30     vernissage en présence de l'artiste
exposition en accès libre, médiation possible sur réservation


Ariane MICHEL

Re Wind


Pour ce lieu emblématique de l’histoire du cinéma qu’est L’Arlequin, Photo Days donne carte blanche à Ariane Michel. L’artiste a choisi de se pencher sur le patrimoine cinématographique de FPA France, qui conserve les films classiques de Griffith, Keaton, Eisenstein ou Flaherty… qu’elle ré-interprète à sa manière, créant un lieu immersif dans l’espace du bar au sous-sol de L’Arlequin. Son installation mêle sons fabriqués, photogrammes extraits des grands classiques et ses propres images, pour interroger notre perception du monde. Fascinée par le “non-humain” – animaux, plantes, minéraux – Ariane Michel invite le spectateur à remettre en question notre rapport à la nature, manipulant l’échelle et la hiérarchie des êtres. Son œuvre, à la frontière entre film et installation, crée de nouvelles géographies mentales où le monde est perçu autrement.



La Maison Dulac Cinéma est honorée d’accueillir Photo Days au cinéma L’Arlequin pour l’exposition de l’artiste Ariane Michel qui s’inscrit dans le cadre de notre saison artistique et culturelle KALÉIDOSCOPE 2024-2025. Cette saison vient compléter la programmation hebdomadaire des 5 salles du réseau (Arlequin, Majestic Bastille, Majestic Passy, Escurial, Reflet Médicis) avec force en élargissant les horizons de la salle de cinéma traditionnelle. Véritable carrefour des arts, le réseau offre plus de 200 événements du cinéma à la photographie, de l’histoire de l’art à la musique électro, de la culture drag au stand up. La Maison Dulac Cinéma est réellement le lieu de tous les possibles.


L'Arlequin

Atelier Néerlandais

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7/11/2024 – 22/11/2024
mercredi 6/11 20h-23h   vernissage sur invitation


Unbound Foundation en partenariat avec FOAM Amsterdam

NOUVELLE FRONTIÈRE



Une sélection d'artistes néerlandais explorant les limites extérieures de l'univers photographique, présentée par la fondation Unbound, en partenariat avec le musée de la photographie FOAM. L'exposition présente des projets de photographie contemporaine qui croisent d'autres disciplines artistiques telles que l'art numérique, la sculpture, la vidéo, le textile et les installations, à la recherche de nouvelles frontières pour le médium, enracinées dans la nature conceptuelle de l'art moderne et contemporain néerlandais.





29/11/2024 – 8/12/2024
jeudi 28/11 18h-21h   vernissage en présence de l’artiste

Robert ROMBOUT

ON THE ROAD



Rob Rombout est surtout connu en tant que cinéaste et professeur de cinéma documentaire, il se considère comme un photographe “tardif”. On the road est une exposition itinérante, de Bruxelles à Lisbonne en passant par Paris. C'est un mélange éclectique de photographies, de films, de conférences, des ateliers et de présentations de livres en collaboration avec l'Atelier Néerlandais, le Centre Wallonie Bruxelles et l’École nationale supérieure Louis Lumière.




Atelier Néerlandais

BnF François-Mitterrand

→ Galerie des Donateurs, entrée quai François Mauriac


22/10/2024 – 12/1/2025

mercredi 20/11/2024 à 14h30
visite uniquement sur réservation

Le Goût de la Photographie

dans la collection de Jérôme Prochiantz


La Bibliothèque nationale de France consacre une exposition à la collection de photographies que lui a donnée le collectionneur Jérôme Prochiantz en 2023. Composé de 368 épreuves, cet ensemble aussi exceptionnel qu’éclectique a permis de faire entrer dans les fonds du département des Estampes et de la photographie — riches de plus de 6 millions de tirages — des œuvres de Robert Mapplethorpe, Masahisa Fukase ou Nan Goldin. Une soixantaine de photos, présentées en galerie des Donateurs, restituent le foisonnement de l’accrochage conçu par le collectionneur dans son appartement parisien.

commissariat · Sylvie Aubenas, directrice du département des Estampes et de la photographie, BnF et Dominique Versavel, conservatrice au département des Estampes et de la photographie, BnF




BnF

Centre Pompidou

→ Galerie de photographies, niveau -1


11/9/2024 – 6/1/2025
jeudi 14/11 à 9h    visite uniquement sur réservation

Barbara CRANE


Le Centre Pompidou présente la première monographie d’envergure consacrée en Europe à Barbara Crane (1928 – 2019), photographe américaine de renommée internationale dont la carrière s’étend sur plus de soixante ans. L’exposition, qui réunit plus de 200 œuvres, porte sur les 25 premières années de sa carrière. Auteure d’une œuvre plurielle, Barbara Crane n’a cessé d’explorer les formes et les techniques photographiques (épreuves gélatino-argentiques et numériques, tirages instantanés – Polaroid –, transferts photographiques, tirages au platine-palladium, couleur, noir et blanc...), comme en témoigne la variété des séries présentées dans l’exposition.

Formée à la photographie ainsi qu’à l’histoire de l’art au Mills College (Californie) et à la New York University, Barbara Crane continue sa formation auprès d’Aaron Siskind, à l’Institute of Design de Chicago dans les années 1960. Son œuvre est remarquable par la synthèse qu’elle opère entre la tradition de la straight photography américaine et une sensibilité plus expérimentale, héritée des avant-gardes européennes. Son approche photographique de la ville et de ses habitants anonymes en fait une figure singulière dans l’histoire de la photographie américaine. Le contexte artistique dans lequel elle évolue ainsi que ses influences multiples – de John Cage à Henri Matisse, en passant par Merce Cunningham et le cinéma expérimental – nourrissent sa pratique, dominée par l’idée de séquence et de série, d’accidents et de discipline.

Commissariat · Julie Jones, conservatrice, Musée national d’art moderne, Centre Pompidou, assistée de Paul Bernard-Jabel






2/10/2024 – 6/1/2025
Galerie 4, niveau 1

Prix Marcel Duchamp 2024 - Exposition collective
Créé en 2000 pour mettre en lumière le foisonnement de la scène artistique française, le prix Marcel Duchamp a pour ambition de distinguer et de promouvoir à l’international les artistes les plus représentatifs de leur génération.

nominés 24e édition : Abdelkader BENCHAMMA, Gaëlle CHOISNE, Angela DETANICO et Rafael LAIN, Noémie GOUDAL
14/10 Annonce lauréat(e) 







Centre Georges Pompidou

L’École des Arts Joailliers

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21/11/2024 – 23/3/2025

Paris, capitale de la perle



L’exposition retrace l’âge d’or du commerce des perles fines à Paris, qui en fut le centre mondial pendant l’entre-deux-guerres. Elle explore comment la capitale française a acquis ce statut, ses relations avec le Golfe, et les raisons du déclin de ce commerce.

L’exposition met également en lumière l’influence profonde de la perle sur les joailliers et artistes parisiens, où elle est devenue un symbole emblématique des années folles.





L’École des Arts Joailliers
avec le soutien de Van Cleef & Arpels

Fondation Henri Cartier-Bresson

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9/10/2024 – 5/1/2025
mercredi 27/11 à 10h   visite uniquement sur réservation


Mame-Diarra NIANG

Remember to Forget



Le corps noir est au coeur des nouvelles séries de l’artiste française Mame-Diarra Niang. Elle ne souhaite ni le définir, ni le raconter. Elle veut au contraire le libérer des représentations imposées par des siècles de narration occidentale. Elle cherche donc à l’abstraire, à travers ce qu’elle appelle des formes de non-portraits.
Chacune des images de cette tétralogie peut être envisagée comme une évocation de l’artiste elle-même. « Qu’est-ce qui fait que je suis moi ? », se demande-t-elle. Sa personnalité ne peut être réduite à une identité fixe, assignée ou assujettie. Elle est constituée d’expériences, de mémoires et d’oublis. Elle est de ce fait en perpétuelle évolution. C’est ce flux, ce territoire en permanente reconfiguration, qu’elle explore. À travers ce projet, entamé lors d’une période de long confinement, en rephotographiant des écrans, Mame-Diarra Niang joue volontiers avec ces défauts caractérisés de la photographie traditionnelle que sont le flou, les distorsions ou les halos. À la manière d’une psychologue ayant recours aux taches d’encre d’un test de Rorschach pour révéler l’inconscient, elle utilise ces disjonctions de l’imagerie contemporaine comme autant de surfaces de projection.
« Je suis ce flou », dit-elle.

commissariat · Clément Chéroux





9/10/2024 – 5/1/2025

Raymond MEEKS

The Inhabitants


Lauréat du programme Immersion de la Fondation d’entreprise Hermès, le photographe américain Raymond Meeks a longuement séjourné en France au cours de l’année 2022. Il a photographié dans le Sud, à la frontière avec l’Espagne et sur les côtes du Nord vers Calais, deux géographies qui ont en commun d’être des points de passages pour les demandeurs d’asile en route vers l’Angleterre. Il a choisi de ne pas photographier les visages de ceux qui sont partis de chez eux à la recherche d’un avenir meilleur, mais plutôt les lieux et les traces de leur itinérance. Il y a là une chaussure dans la terre, une couverture roulée au sol, une veste accrochée aux branchages. Le photographe s’est particulièrement intéressé aux espaces inhospitaliers que les migrants habitent provisoirement : les fossés, les remblais, les bas-côtés des axes autoroutiers, les bords des rivières, les terrains vagues et autres non-lieux. Même lorsqu’elles ne sont pas directement visibles, les rivières sont particulièrement présentes dans ces images. Comme si le flux de la migration était métaphoriquement représenté par ces cours d’eau. Mais il y a aussi beaucoup d’obstacles – talus pierreux, bloc de béton, enchevêtrement de ronces ou de barbelés – dont on imagine qu’ils ne sont pas grand-chose par rapport à ceux que les réfugiés doivent surmonter au quotidien. Témoignage de cette autre histoire meurtrière que fut la Guerre de 100 ans, les Bourgeois de Calais, tel qu’ils ont été sculptés par Auguste Rodin, apparaissent aussi dans la série.

Le projet est accompagné d’un texte de l’écrivain américain George Weld qui partage avec les photographies de Meeks une semblable approche guidée par la pudeur et l’empathie.

commissariat · Clément Chéroux





Fondation Henri Cartier-Bresson

www.henricartierbresson.org

instagram @fondationhcb

01 40 61 50 50
contact@musee-armee.fr

79 rue des Archives – Paris 3e
mardi-dimanche 11h-19h / fermé le lundi

10€ / tarif réduit 6€



Galerie XII

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9/11/2024 – 18/01/2025
samedi 9/11 dès 15h    vernissage en présence des artistes

Clara CHICHIN et Sabatina LECCIA

Le bruissement entre les murs



Clara Chichin et Sabatina Leccia forment un duo d’artiste dans lequel l’entremêlement de leurs deux pratiques respectives - la photographie et le dessin- donne forme à un jardin d’images hybrides dans lequel elles donnent à sentir l’expérience du paysage, d’un territoire éprouvé. Travaillant au rythme lent du vivant, elles questionnent la notion de paysage, sa représentation et la relation au monde vivant. Cette prise du temps et sur le temps est une invitation poétique à se ressaisir du politique, à se reconnecter au sensible, à proposer un ré-enchantement.
Le Bruissement entre les murs est une conversation entre photographie, dessin contemporain et broderie où matérialité et représentation symbolique s’alternent.

Avec les Murs à pêches de Montreuil en toile de fond mais aussi comme moteur principal, Clara Chichin et Sabatina Leccia opèrent des prélèvements dans le réel, creusent des galeries secrètes entre l’aspect fantastique de ce lieu qui prête à la rêverie et son aspect historique et témoin des strates de temps – mûrs à pêches du roi Louis XIV, maraichage, lieu populaire, gentrifié, pris en étau par l’étalement urbain.
En déambulant dans ces jardins, Chichin et Leccia décloisonnent les temporalités, en conjuguant leurs pratiques (photographie, dessin, tissage, tirage etc) et leur sensibilité. La matérialité de leur collaboration permet d’incarner les strates de temps et de perception, entre les murs se trouvent des énergies impalpables. Les artistes livrent une cartographie sensorielle réorientant la compréhension de ce lieu.
Le jury de la bourse Transverse 2022 a récompensé le duo d’artistes pour ce projet.

En 2023, elles ont reçu l’aide de la DRAC et le projet été exposé lors de la Biennale de l’Image Tangible. Un livre est à paraître aux éditions sun/sun en novembre 2024.



Galerie XII

www.galeriexii.com

instagram @galerie_xii

01 42 78 24 21
paris@galeriexii.com

10 et 14 rue des Jardins Saint-Paul · Paris 4e
mercredi-vendredi 14h-19h / samedi 12h-19h / et sur rdv

accès libre


Galerie 20 Thorigny

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16/10/2024 – 10/11/2024
mardi 15/10 dès 18h   vernissage de l'exposition sur invitation

Morteza NIKNAHAD

Big Fish et Beyond the seas



Big Fish
Une nuit, au milieu des années 90, ma mère a fait un cauchemar qui a marqué le début d'une période difficile dans notre vie. Elle a commencé à souffrir d'une mystérieuse maladie, que les médecins ont attribuée à une sorte de résidu mental lié à des événements de son passé.
Plus d'une décennie après cette nuit, ma mère a finalement parlé du rêve qu'elle avait gardé secret jusque-là. Elle a décrit une créature vivante, inconnue et terrifiante, qui ne cessait de grandir dans son rêve, la plongeant dans un état d'incertitude au point de ne pas pouvoir se réveiller.
Ma mère n'a évoqué cette nuit qu'une seule fois et a toujours refusé de répondre à toute question sur ce qui s'est passé. Depuis, un monstre l'accompagne contre son gré. La série "Big Fish" est une narration mentale retraçant vingt ans de ma vie et mes observations sur la vie quotidienne d'une femme vivant avec un monstre apprivoisé mais blessé.

Beyond the Sea
J'ai souvent pensé que le temps finirait par se venger de nous. Nous, qui l'avons si souvent tué, errant ici ou là, à chaque coin de rue.  Là où le regard se perd pour échapper à la réalité avant qu’un raz-de-marée inattendu arrive de face.
En miroir de qui nous sommes, qu'il s'agisse d'un souvenir émouvant ou d'une attente interminable, chacun cherche au loin, sans jamais vraiment savoir où le regard peut mener.
Clin d'œil à ma propre vie ou dans un corps à corps avec ceux que j'ai croisés sur mon chemin, j'imagine des scènes qui nous détachent de la réalité. Une réalité qui nous cloue au sol, tandis que nos désirs ne songent qu'à s'envoler, pour échapper aux mers et aux terres qui nous retiennent. La mer n’éloigne jamais les songes. Elle en est le berceau et le point de convergence.



Galerie 20 Thorigny

AN INC.


→ 5 rue Sainte-Anastase

6/11/2024 – 12/11/2024
jeudi 7/11 dès 18h   vernissage de l'exposition

Kyungtaek LEE

No man’s land



Le photographe Kyungtaek Lee interprète le « sens de l’existence » à travers des « rencontres inattendues » . Au cours des dix dernières années, il a photographié des endroits reculés à la recherche de sa propre esthétique. No man’s land, l’une de ses séries Unforeseen, est une série sur les structures artificielles découvertes à la frontière entre la civilisation moderne et les terres abandonnées. Le « No man’s land » fait généralement référence à une zone abandonnée après un conflit et qui est inhabitée, mais l’artiste le considère comme la frontière de la civilisation, lui donnant ainsi une nouvelle signification. L’artiste a ressenti un sentiment d'éternité lorsqu’il a vu les objets fabriqués par l’homme se naturaliser pour faire partie de la nature. Il a suivi ces images aux frontières des civilisations dans le monde entier, au Tibet, dans l’Himalaya et dans les Andes. Certaines sont des traces humaines découvertes de manière innatendue dans les régions insulaires de l’Asie de l’Est, dans la mer du Nord russe et en Europe du Nord, dans le cercle polaire arctique. Il traduit la solitude des habitants des villes à travers de vieilles structures artificielles sur des terres désertes. Son travail dépeint l'existence humaine assimilée à notre environnement.

Il s’agit d’une œuvre photographique à grande échelle de plus de 140 centimètres, imprimée par l’artiste lui-même après un traitement spécial d’émulsion sur du papier d’impression. La matérialité de l’œuvre est très artistique, et elle montre une combinaison de réalité photographique et de propriété pittoresque. No man’s land est une œuvre qui trouve des valeurs humaines à travers des structures artificielles trouvées à la frontière de la civilisation.




→ 5 rue Payenne

5/11/2024 – 11/11/2024
jeudi 7/11 dès 18h   vernissage de l'exposition

SPACE GIL

DIGITAL AVANT-GARDE



La photographie contemporaine est très expérimentale et peut être considérée comme à la tête d'une nouvelle culture photographique. Aujourd’hui, la photographie contemporaine se caractérise par la fusion avec d'autres médias, la combinaison par l’édition d’images et les formes artistiques. Parmi celles-ci, nous nous concentrons sur la photographie d’art numérique.

À l’origine, la photographie d'art désignait les photographies artistiques en général, mais depuis peu, elle désigne des formes photographiques qui visent une valeur artistique. Le développement de la technologie de traitement des images numériques a considérablement élargi le rôle des supports photographiques. Reflétant cet esprit expérimental, nous avons préparé cette exposition sous le titre Digital Avant-garde. Les artistes qui se définissent comme des photographes et qui utilisent la photographie comme moyen d’expression l'abordent toujours à la fois comme un moyen et comme un matériau. Le développement des réflexions sur comment utiliser le matériau photographique a évolué au-delà de la numérisation de la chambre noire pour devenir un domaine créatif pour la construction d’un langage esthétique. L’avant-garde numérique est la combinaison de l’esthétique et de l’imagination, elle signifie l’élargissement du rôle de la photographie par le biais d'un traitement expérimental.

Le groupe de photographes coréens Space Gil explore de nouvelles voies à l’intersection de la photographie et de l’art, allant de la simple photographie à l’art numérique.


Artistes présentés
Youngsook CHO · Miran CHOI · Haesuk HAN · Younsik HWANG · Geumhee JUNG · Kyunghee KANG · Yeonmi KO · Kyunghee KIM · Younghee KIM (1) · Younghee KIM (2) · Mijin KIM · Joongkil KIM · Sungsook KIM · Jeongwon KIM · Hyeok LEE · Youngjoo LEE · Eunju LEE · Miyeong LEE · Sungsoon PARK · Eunjea PARK · Soonok RYU · Kyungheum SONG · Heungja SON · Yoonsuk SIM · Sukhee SHIN




AN INC.

L’ANGLE

→ au cabinet d’expertise Lacroix-Jeannest


7/11/2024 – 10/11/2024
jeudi 7/11
  19h-21h   vernissage de l'exposition
visites sur réservation


David TATIN


Exposition-vente de photographies

L’ANGLE, galerie créée en 2018 à Hendaye (64), est entièrement dédiée à la photographie contemporaine d'auteur. Elle concentre sa programmation vers ce qui fait l’essence de notre relation au vaste monde, avec comme thème de prédilection, l’écosophie qui met en avant l’urgence de replacer l’humain au sein d’un tout.

Le photographe David Tatin est engagé dans une relation intime avec la nature. Son travail empreint d’écrits de philosophes contemporains, plonge de manière inédite notre regard et nos propres réflexions au cœur de la relation de l’humain au reste du vivant. Formé en biologie et en photographie, David Tatin a travaillé pendant 15 ans dans la protection de la nature avant de devenir photographe à temps plein depuis 2013. « David Tatin dépasse les motifs attendus pour une approche transcendantale : les cieux, l’eau, les végétaux et la terre ainsi que les phénomènes atmosphériques sont traduits de façon presque hallucinée. Ce n’est plus un regard porté sur la nature, mais une forme d’imprégnation qui génère une vision. » - Michel Poivert (Contre-culture dans la photographie contemporaine, éditions Textuel, 2022)


L’ANGLE et David Tatin ont choisi pour cette exposition-vente de présenter des œuvres en édition limitée, issues des séries Cosmos et Bestiaire, aux procédés créatifs différents : photographie numérique couleur grand format pour l’une, cyanotypes teintés dans le thé pour l’autre.




L'ANGLE

Anne-Laure Buffard

→ y aller


1/11/2024 – 15/1/2025
jeudi 31/10 dès 18h    vernissage de l’exposition

Nhu Xuan HUA

Bridge Falling Down Soon Rising Up


Après le succès critique et public de son exposition dans le cadre des Rencontres d’Arles, Heaven and Hell, collaboration remarquée avec l’actrice et autrice Vimala Pons, Nhu Xuan Hua revient pour un solo show parisien à la Galerie Anne-Laure Buffard qui la verra ouvrir un nouveau chapitre de ses « tropisms » avec un ensemble d’oeuvres inédites mêlant photographies de mode et images issues de ses archives personnelles.

La galerie sera présente à Paris Photo
→ stand C52

Galerie Anne-Laure Buffard

ARCHES CITOYENNES 

→ y aller


6/11/2024 – 13/11/2024  accès sur rdv
samedi 9/11 dès 19h    vernissage avec dj-set

Oleñka CARRASCO

Au cœur de (la) PATRIA


L’artiste Oleñka Carrasco donne carte blanche à la commissaire française Emmanuelle Halkin et la commissaire brésilienne Ioana Mello. L’exposition « Au cœur de (la) PATRIA » met en contexte des pièces inédites du projet PATRIA présentées à Paris Photo pour la première fois.
Du processus de création au contexte documentaire, les commissaires conçoivent une expérience sensorielle qui donne les clés de compréhension de l'œuvre de l’artiste. Dans les pas de celle-ci, elles initient un dialogue entre deux territoires : le Venezuela, pays dans la tourmente à la base du projet, et l'atelier parisien de l'artiste où les pièces sont créées.



ARCHES CITOYENNES / Atelier de l’artiste

Diamantino Labo Photo

→ à Bagnolet (93)


lundi 25/11 à 10h    visite uniquement sur réservation

Un Laboratoire argentique

Visite avec le maître-artisan tireur-filtreur et son équipe


Le laboratoire de Diamantino est le résultat de la naissance d’une passion et d’une exigence presque viscérale de rendre hommage à la Photographie, aux Photographes et à tous ceux qui recherchent la magie de l’Argentique. C’est un lieu d’échange et de partage.

C’est en toute humilité que Diamantino ne prétend pas apporter du nouveau mais seulement mettre sa passion, sa sensibilité, son exigence et son professionnalisme au service des Photographes déçus et insatisfaits des prestations qui leur sont imposées. Les tirages photographiques de Diamantino sont traditionnels, en couleur ou en noir et blanc, réalisés par projection à travers un agrandisseur ou une autre source lumineuse. Ce sont des tirages entièrement artisanaux et uniques.

Diamantino collabore avec des grands noms de la photographie, mais aussi avec de jeunes photographes, inconnus et sans budget pour leur projet d’exposition. Il rend hommage à tous les photographes, aux passionnés de la photographie et des laboratoires, artistes, chimistes fous, chercheurs de la pierre philosophale, amoureux du beau qui, à travers leurs travaux, ateliers, expositions, sites internet, répandent la magie de l’Argentique.

Ces créateurs nous montrent que la Photographie est toujours vivante, elle est avant tout un sentiment, une relation organique entre une image captée, insoumise et l’expression de l’esprit.
à venir...




Diamantino Labo Photo

Fondazione Sozzani

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31/10/2024 – 24/11/2024

Dolorès MARAT

Lauréate du Prix Delpire


Pour mettre à l’honneur la lauréate du Prix du Livre Robert Delpire 2023, une exposition de l’œuvre de Dolorès Marat - photographe de la nuit, du rêve et de l’évanescence - conçue à l’occasion de la publication de son livre, aura lieu à la Fondation Sozzani à Paris, organisée par le Fonds de dotation Neuf Cinq - Robert Delpire & Sarah Moon en collaboration avec la Maison Européenne de la Photographie, qui en assure le co-commissariat.

Créé en 2022 par le Fonds de dotation Neuf Cinq, ce prix récompense une œuvre personnelle née d’un regard authentique – une vision, une expression personnelle « de ce qu’il voit, pas un simple constat » selon les mots de Robert Delpire, qui fut à la fois éditeur, commissaire d’exposition et directeur artistique.

Depuis sa création, la MEP (Maison Européenne de la Photographie) a joué un rôle majeur dans la reconnaissance institutionnelle de la photographie sous toutes ses formes, dont la programmation met en lumière la diversité des approches artistiques propres au médium. Dans la continuité de ses actions hors les murs, la MEP est fière de poursuivre son rayonnement à travers une collaboration avec le Fonds de dotation Neuf Cinq - Robert Delpire & Sarah Moon.

Photographe française autodidacte, Dolorès Marat explore la photographie par le biais d’expérimentations chromiques et plastiques. Oniriques et instinctives, ses images, peuplées d’énigmes et d’ambiances étranges, nous transportent dans un monde imaginaire.
L’exposition, étroitement liée au livre, rassemble plus de 60 photographies prises tout au long de sa carrière - paysages, villes, personnages anonymes, animaux, fêtes foraines, zoos, stations de métro... réalisées tant en France qu’en Europe, aux États-Unis ou au Moyen-Orient.

Commissaires · Sarah Moon, Guillaume Fabiani du Fonds de dotation Neuf Cinq et Laurie Hurwitz de la Maison Européenne de la Photographie
Chargée d’exposition · Aden Vincendeau




Fondazione Sozzani

fondazionesozzani.org

instagram @fondazionesozzani

22 rue Marx Dormoy · Paris 18e
mardi-dimanche 11h-19h / nocturnes jeudi et samedi jusqu'à 21h

accès libre

Frank Horvat Studio

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4/11/2024 —28/2/2025 
dimanche 17/11 17h-22h    vernissage en présence de l'artiste uniquement sur réservation


Jennifer DOUZENEL

Dialogue


Le Studio Frank Horvat invite l’artiste vidéaste Jennifer Douzenel sous le commissariat d’Anaël Pigeat. L'artiste propose une installation inspirée par les archives et offre une nouvelle lecture des lieux.

commissariat · Anaël Pigeat et Fiammetta Horvat


dimanche 17/11 17h-22h sur réservation
Vernissage de l’exposition de Jennifer Douzenel, suivie du tour des archives et de la collection privée de photographies de Frank Horvat, guidée par la fille de l’artiste Fiammetta Horvat.




Frank Horvat Studio

Gamma-Rapho

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Jeudi 14/11 à 10h30 
visite uniquement sur réservation

Fonds historique

Visite commentée



GAMMA RAPHO puise sa singularité dans les collections qu’elle représente et distribue : un patrimoine photographique unique constitué par les agences Gamma, Rapho et Keystone. L’ensemble de ces fonds photographiques retrace les événements, les hommes et les femmes qui écrivent l’Histoire depuis presque 100 ans. Alimenté pour répondre de manière pertinente aux besoins iconographiques de l’univers des médias, de l’édition, du spectacle, des entreprises et des collectivités, le fonds Gamma Rapho Keystone s’enrichit continuellement grâce à ses nombreux partenaires, français et internationaux mais également grâce aux photographes et ayants droits qui lui font confiance.




Gamma-Rapho
www.gamma-rapho.com
instagram @gammarapho

01 73 00 70 74

104 boulevard Arago · Paris 14e
accès uniquement sur réservation

Rencontres d’artistes
chez Leica

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les 12, 19, 21 et 26/11  de 18h à 20h
accès libre sur réservation

Les artistes font salon



Photo Days vous invite à rencontrer les artistes de manière informelle dans l’ambiance chaleureuse du nouveau Leica Store au Village Royal.

Chaque mardi, dans un cadre privé et décontracté, vous aurez l'opportunité de découvrir des perspectives uniques et de vivre des moments privilégiés avec des artistes passionnés.



mardi 12/11 de 18h à 20h


mardi 19/11 de 18h à 20h


jeudi 21/11 de 18h à 20h


mardi 26/11 de 18h à 20h



Leica Store Village Royal

avec l’aimable participation de

   

ART-ICON

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8/11/2024 - 10/11/2024

Corporeality


avec les artistes  Roger BALLEN / Natalie CURTIS / Jörg GRUBER / Ilya et Emilia KABAKOV / Tali LENNOX / Christopher MAKOS / Pussy RIOT

Le projet vise à retracer la transformation de la représentation du corps humain du 20e siècle à nos jours à travers le développement de la photographie, de l'art de la performance et des technologies numériques. Les concepts de corps et de corporalité ont été interprétés de diverses manières au cours de l’histoire de l’humanité. Chaque époque a créé ses propres motifs de l’idéal esthétique du corps humain sous la forme d’images canoniques et d'œuvres d'art qui ont servi d'outil pour définir l’identité du soi et de l’altérité. Depuis l’avènement de la photographie et sa diffusion par les médias, le rapport au corps a évolué rapidement. L’émergence des images informatisées, de la réalité augmentée et de l'intelligence artificielle a considérablement augmenté le flux de nouvelles images, déplaçant la matérialité et diminuant l’importance de la présence physique par rapport aux représentations bidimensionnelles. Ce changement crée les conditions pour transformer non seulement la perception de la corporalité, mais aussi le corps lui-même.




ART-ICON

Concours instagram

#ParisCaché



candidatures sur instagram
du 19/10/2024 au 11/11/2024 à minuit


Photo Days, Leica, et Initial LABO renouvellent le Concours instagram annuel,  cette année sur le thème #ParisCaché.

Le lauréat remportera un appareil de photographie Leica V-lux 5 et une séance de tirage chez Initial LABO pour sa photographie gagnante.

télécharger le règlement →

annonce samedi 24 nov à 18h
au Leica Store Village Royal
RSVP

Modalités d’inscriptions
Pour jouer au jeu-concours :

  1. Utilisez votre appareil photo ou smartphone.

  2. Laissez libre cours à votre imagination et prenez vos plus beaux clichés.

  3. Partagez 3 clichés répondant au thème du concours dans un même post sur votre compte Instagram avec les mentions @initiallabo @leicacamerafrance @photodays.paris et #ParisCaché



Lauréat 2023 · akara_photo
#PhotoMove


Lauréat 2022 · Marlauw
#ParisjetaimeenSeine

Lauréat 2021 · Bertrand BERNAGER
#Parisjetaimelanuit



Photo Days


︎︎︎ photo © Ben Koorengevel (détail)

Photo Days & Paris je t’aime




PROCHAINE ÉDITION EN 2025 !

Grand Prix
Paris je t’aime × Photo Days



Photo Days et Paris je t’aime – Office de tourisme se sont associés en 2021 pour lancer le Grand Prix de Photographie Paris je t’aime × Photo Days.

Doté de 15 000€ et d’une exposition à Paris, le Grand Prix est réservé aux artistes et professionnels.


Lauréat 2023 · Letizia LE FUR

exposée à L’Inaperçu - le studio, en 2024



Lauréat 2021 · SMITH

exposé à La Caserne en 2022



Office du Tourisme / Photo Days

Les Recollets

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mardi 26/11 à 19h 
RSVP info@iwpa.fr

Table-ronde IWPA

Visions féminines : la photographie comme espace d’expression et de représentation



Rejoignez-nous autour d’une discussion enrichissante et engagée organisée par International Women in Photo, sur le thème de la photographie : puissant support pour porter la voix et la vision des femmes.

Réunissant deux artistes reconnues, issues d’Iran et de Géorgie, ainsi que des experts du monde de l’art et de la photographie, cet événement sous forme de table ronde propose d’explorer le champ de la créativité, de l’identité et de la représentation à travers le prisme féminin. Comment les femmes redessinent le paysage de la photographie, relèvent les défis culturels, exploitent de nouveaux outils artistiques et contribuent à l’émergence d’une vision renouvelée du monde. 


Intervenants : 
  • Maryam Firuzi (Iran) et Leli Panchvidze (Géorgie) -  Artistes résidents aux Récollets
  • Emmanuelle de l'Ecotais, directrice Photo Days
  • Rafael Pic, rédacteur en chef Le journal de l'Art
  • Emilia Genuardi, directrice A ppr oc he




IWPA · Centre International des Récollets
www.iwpa.fr
instagram @IWPA_photo

mardi 26 novembre à 19h
150-154 rue du Faubourg Saint-Martin – Paris 10e

RSVP par mail info@iwpa.fr
par téléphone 06 11 01 35 09


Cercle des amis   




Forts du succès de nos visites privilégiées, nous avons décidé de lancer un Cercle des Amis qui vous permet tout au long de l’année, une fois par mois, de profiter du meilleur de la programmation photo à Paris.

Venez écouter les commissaires d’exposition et/ou les artistes expliquer leur travail dans des conditions optimales, et contribuez ainsi à diffuser l’amour de la photographie auprès des scolaires défavorisés.




Rejoignez le Cercle des Amis !

Deux bonnes raisons de s’inscrire au Cercle des Amis de Photo Days

  1. Découvrir la scène photographique parisienne dans les meilleures conditions
    Une visite par mois, avec les commissaires d’expositions et/ou les artistes, soit dans les institutions comme le Centre Pompidou, la Fondation Henri Cartier-Bresson, le Jeu de Paume, LE BAL, le MAM Paris, la MEP, le Musée d'Orsay, le Musée du quai Branly… soit dans les galeries partenaires. Et bien d’autres surprises, dans des lieux atypiques et toujours avec des interlocuteurs de qualité.

  2. Diffuser l’amour de la photographie auprès de scolaires
    Grâce à votre contribution, nous pourrons organiser des visites pour initier à la photographie des scolaires et des jeunes de quartiers en éducation prioritaire.


Visites réservées à nos adhérents

26 oct à 10h30 
Quai de la Photo avec Pierre-Yves Mahé

28 nov à 16h30
Gamma-Rapho avec Isabelle Sadys
6 déc à 13h
BnF Mitterrand avec Jérôme Prochiantz

11 déc à 11h
Studio Bauret avec Claude Bauret-Allard






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Créé en 2020, Photo Days propose de fédérer tous les lieux et événements relatifs à la photographie et la vidéo dans Paris en novembre, et regroupe les institutions, les galeries, les foires, une maison de vente, quelques lieux privés soigneusement choisis comme des ateliers d’artistes, des laboratoires ou des appartements de collectionneurs, afin de proposer aux visiteurs, professionnels ou amateurs, une immersion photographique totale au moment où Paris devient la capitale mondiale de la photo.

Avec Photo Days, on passe de la photographie historique à la jeune création française et internationale, de l’engagement féministe au voyage intérieur, de la photographie documentaire à la photographie plasticienne en passant par la mode, le nu ou le paysage, d’un monde absurde bien réel à un monde poétique rêvé. D’expositions collectives en monographies, de foires en rencontres, Photo Days vous emmène d’une rive à l’autre de la Seine et vous guide dans Paris.



Équipe

  Emmanuelle de l’Ecotais

    e.delecotais@photodays.paris
   Fondatrice et directrice artistique
Emmanuelle de l’Ecotais a été conservateur pour la photographie au Musée d’Art moderne de la Ville de Paris de 2001 à 2018 et en charge de la collection Man Ray au Centre Pompidou de 1994 à 1999. Titulaire d’un Doctorat en Histoire de l’Art, elle a organisé un grand nombre d’expositions en France et à l’étranger, parmi lesquelles Man Ray (Grand Palais, 1998), Rodtchenko (Musée d’art moderne, 2007), La Photographie à Düsseldorf (ARC, 2008), Cartier-Bresson (Musée d’Art moderne, 2009), B. & A. Blume (Maison européenne de la photographie, 2010), Shape of Light, 100 Years of Photography and Abstraction (Tate Modern, 2018), Man Ray (Centre Culturel de la Banque du Brésil, 2019-2020), Jean-Philippe Charbonnier, raconter l’autre et l’ailleurs (Pavillon populaire de Montpellier, 2020).
Auteur de livres comme L’Esprit Dada (Editions Assouline, 1999), Man Ray (Taschen, 2000), Rayographies (Editions Léo Scheer, 2002), elle a également été membre des comités d’acquisitions du Fonds National d’Art Contemporain (2004-2007) et de la Maison Européenne de la Photographie (2007-2010), membre des jurys Paris Jeunes Talents, Prix pour la photographie du Royal Monceau, Prix pour la photographie de la Fondation des Treilles, Prix de photographie Marc Ladreit de Lacharrière de l’Académie des Beaux-Arts, Prix Pictet, et conseillère artistique pour le Prix HSHC pour la Photographie en 2013.
Depuis 2019, Emmanuelle de l’Ecotais est commissaire d’exposition indépendante, expert et conseil, et s’investit au sein de Photo Doc. principalement dans le cadre du Lab, pour s’engager, avec les artistes, sur les enjeux sociétaux de demain. Enfin, elle est membre du comité et directrice artistique de la fondation photo4food.


  Camille Gajate

    c.gajate@photodays.paris
    Coordinatrice générale
Commissaire indépendante et coordinatrice d’expositions, Camille Gajate a appris la conservation des photographies et l'appréciation de leur valeur artistique au sein des archives du Musée Guimet et Old Photographs Archives de Nagasaki. Après son master à l'INALCO et dans la volonté de diffuser les collections, elle se réoriente en 2016 pour obtenir le titre de Gestion culturelle et commissariat d'exposition à l'IESA. Elle a travaillé pour Kyotographie, Paris Photo, Photo Doc, en 2018, elle devient coordinatrice de la Fondation Manuel Rivera-Ortiz puis, en 2020, rejoint Emmanuelle de l’Ecotais pour la création de Photo Days.
Parallèlement, Camille Gajate fonde en 2019 la résidence internationale et festival annuel en plein-air BZH PHOTO.


  Maya Palma

    Designer Graphique

  Anna Nicolas

   Relations galeries

  Orane Alexandrine

    Relations institutions

  Tatiana Patault

    Relations visiteurs

  Taymiyah Kechkar

    Relations lieux atypiques

  Gaia Contarino

    Assistante lectures de portfolio


  Movement

    Stratégie de Communication
Romain Guillon
Pierre Riess

Le bureau est composé comme suit :
Présidente, Agnès de Gouvion Saint-Cyr, inspecteur général honoraire pour la photographie, Ministère de la Culture
Vice-Président, Alain Sayag, conservateur honoraire du patrimoine
Secrétaire, Peggy Nahmany, vice-présidente et directrice de la communication, Thalès
Trésorière, Carole Bédoïan, gérante de société
Trésorière adjointe, Karine Azoulay, gérante de société



Nous sommes heureux du soutien, de la fidélité, de l’engagement, du dévouement et du professionnalisme de nos partenaires. Nous profitons de cette occasion pour les remercier.


Action financée
par la Région île-de-France

www.iledefrance.com
Photo Days remercie M. Jean-Pierre Lecoq, Maire du 6e, et Mme Delphine Bürkli, Maire du 9e pour leur soutien.


Grands partenaires





Partenaires




Partenaires institutionnels