VIRÉES PHOTO  VIDÉO
DU 15 OCT AU 11 DÉC 2022
À PARIS ET EN ÎLE-DE-FRANCE
Photo Days
 
DU 15 OCT AU 6 NOV
vernissage le 17 oct
associé au Parcours Saint-Germain 
et partenaire VIP de Paris+ par ArtBasel

 
 découvrir le programme 

DU 7 NOV AU 11 DÉC
vernissage le 8 nov
partenaire VIP de Paris Photo



 découvrir le programme 

Affichage Sauvage

→ Paris 1er, 3e, 4e, 8e, 9e, 11e, 14e


à partir du 7/11/2022

Boris MIKHAÏLOV

Yesterday’s Sandwich



Photo Days organise un affichage sauvage des oeuvres de Boris Mikhaïlov de la série Yesterday’s Sandwich à retrouver dans les rues de Paris.

Nous remercions vivement Laurie HURWITZ, commissaire de l’exposition actuellement présentée à la Maison Européenne de la Photographie.



Voici quelques adresses : 
Paris 1er · 48 rue Berger,  7 rue Turbigo
Paris 3e · 34 rue Turbigo, rue Rambuteau, rue des Archives, rue de Turenne, 14 rue des Haudriettes, 144 et 172 rue du Temple, boulevard Beaumarchais
Paris 4e · 48 boulevard Henri IV, rue de Rivoli, métro Saint-Paul
Paris 8e · 26 rue Tronchet, métro Madeleine
Paris 9e · 70 boulevard Haussmann, 34 boulevard des Italiens
Paris 11e · 50 boulevard du Temple, 81 boulevard Ménilmontant, métro Voltaire


Boris Mikhaïlov est représenté par la galerie Suzanne Tarasiève →


Affichage Sauvage

dans les rues de Paris
3e, 4e, 6e, 8e, 13e, 14e, 16e, 18e

accès libre

Fondation des Artistes
Rotonde Balzac

→ à l’Hôtel Salomon de Rothschild


15/10/2022 – 31/10/2022
visite sur RDV : reservation@photodays.paris


Yann TOMA

Chambre de Divination Climatique 



C’est une chambre hors-temps/hors-champs, un réceptacle de pulsations communes, le lieu de récits et d’imaginaires non conventionnels et inconnus. Inspiré d’une convergence entre La comédie humaine, Louis Lambert, Séraphîta de Balzac et L’Énergie Artistique de Ouest-Lumière comme histoires naturelles de la société et de ses fluctuations, ainsi que par une mise en résonance de sa réflexion sur les bouleversements climatiques qui ébranlent le monde, Yann Toma explore la possible activation d’une Chambre de Divination Climatique en liaison avec une histoire réelle et toute à la fois fantasmée du monde, forme d’appel illusoire momentané autant que cadre libératoire furtif.

Considérant les objets de la rotonde Balzac comme autant de supports métaphoriques de son œuvre in situ, Yann Toma présente trois niveaux de structuration de l’espace, comme autant de lectures ubiquitaires possibles : le premier s’incarne par l’ancrage de milliers d’ampoules dans la Rotonde-même, sortes de monades-témoins des bouleversements en cours; parallèlement, il investit les trois oculi de la Rotonde en convoquant le hasard photographique. Le second, au centre de la rotonde, s’empare de la condition des oiseaux comme autant de messagers d'un magnétisme animal en voie de dérèglement; ici, une pythie étrange sommeille. En périphérie de ce dispositif on découvre une entrée projective et photographique vers cinq espaces parallèles. Le troisième niveau, issu de son dialogue avec des personnalités politiques, des scientifiques, des écrivains et des philosophes, imprégné autant que libéré des conclusions récentes du GIEC, laisse percevoir des fragments d’images de pensées fictionnelles les plus actuelles sur notre temps, à l’image de son dialogue intense autant avec Balzac qu'avec le penseur Ariel Kyrou, auteur d’un abécédaire foisonnant sur Philip K. Dick.

En la Chambre de Divination Climatique se dessinent peut-être les trajectoires complexes de certains changements magnétiques qui s’opèrent actuellement dans notre monde, principalement en nous-mêmes. Sommes-nous en mesure de les percevoir ? 



Fondation des Artistes

Fondation des Artistes
Rotonde Balzac

→ à l’Hôtel Salomon de Rothschild


7/11/2022 – 8/12/2022

le 3/12 à 16h
RSVP
visite commentée de l’exposition

Jean-Michel FAUQUET

Le Code des gens honnêtes



Photo Days donne carte blanche à Jean-Michel Fauquet dans la Rotonde Balzac, érigée par la baronne Salomon de Rothschild en l’honneur de l’écrivain dans les jardins de son hôtel particulier. Seule contrainte : Balzac doit être à l’origine des œuvres présentées. Fasciné par la fameuse sculpture de Rodin représentant le romancier, Jean Michel Fauquet a imaginé une installation qui réunit autour d’une sculpture en bronze factice deux séries de photographies peintes, livrant une vision très noire de la comédie humaine.


Jean-Michel Fauquet est représenté par La Galerie Rouge →


Fondation des Artistes

La Caserne

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9/11/2022 – 20/11/2022
le 8/11 à 18h     vernissage en présence de l'artiste

SMITH

Paris (contralto)

Lauréat 2021 de Paris je t’aime × Photo Days  


Pour cette première édition du Grand prix "Paris je t'aime × Photo Days" autour du thème "Paris vert", SMITH propose un portrait de cette ville dans une tessiture visuelle à la marge de celles habituellement employées pour chanter Paris - ville qui l'a vu naître, grandir, et qu'il hante encore aujourd'hui. Le contralto est la voix de femme la plus grave ; une voix rare, de l'entre-deux, caractérisée par une mystérieuse chaleur, paraissant dévoiler une autre réalité.

Cette série est réalisée à la caméra thermique, outil de prédilection du photographe depuis dix ans, dont la singularité est de capter les ondes de chaleur dégagées par les corps vivants, humains et non-humains. Ses couleurs singulières troublent les frontières entre les espèces, entre les règnes, révélant un on-ne-sait-quoi d'invisible, mais de pourtant fondamental, d'intuitif, liant tout ce qui est. Ces thermogrammes parisiens semblent ainsi mettre en lumière une ville où les surfaces bleues-grises bitumées omniprésentes cèdent leur place au flux du vivant et à ses couleurs chaudes.

SMITH a fait le choix de photographier les espaces familiers de son enfance : le triangle Belleville - Buttes Chaumont - Canal Saint-Martin, les jardins, parcs, squares, cimetières, quais, et bois alentours, qui furent à Paris ses seuls espaces de rêve et de contact avec « la nature », à l’affût de rencontres humaines et non-humaines, de zones de contact, de porosité, de panoramas nocturnes, de points de vue singuliers, pour composer une série dévoilant une dimension inédite de la ville de Paris, ouverte sur le vivant.
SMITH


SMITH est représenté par la Galerie Christophe Gaillard →


La Caserne

Hôtel de Sauroy

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17/11/2022 – 25/11/2022

le 25/11 de 17h à 20h
finissage en présence des artistes, last chance pour revoir l’exposition  


PARTAGE

fondation photo4food


L'art au service des autres
Achetez une photo, faîtes un don, la fondation offre des repas

La fondation promeut de jeunes artistes photographes lui ayant fait don de quelques unes de leurs oeuvres. Grâce à leur générosité et au fruit de la vente de ces photos, photo4food peut soutenir des associations mobilisées contre la pauvreté et la faim.

Les artistes présentés ont fait don de quelques unes de leurs photographies au bénéfice de la fondation. Vous pouvez acheter leurs oeuvres et ainsi nous aider à lutter contre la pauvreté et la faim. Découvrez ces talents, nous leur devons bien un coup de pouce à notre tour !

Artistes exposés :
Nathaniel Aron, Stanislas Augris, Carline Bourdelas, Charlotte Bovy, Jean-Marc Caimi & Valentina Piccinni, Nicolas Boyer, Roc Chaliand, Benjamin Decoin, Gérard Degonse, Thomas Dhellemmes, Mathilde de l'Ecotais, Anne-Charlotte Moulard, Diana Lui, Human Soul, Pierre-Elie de Pibrac, Cerise Doucède, FLORE, Costanza Gastaldi, Allan Kliger, Letizia Le Fur, Julien Mignot, Kevin Millet, Sergey Neamoscou, Olivier Goy, Anais Tondeur, Corinne Vachon, Monique Van Laake, Anne Valverde, Mathieu Walter






Espace photographique de Sauroy

Place Saint-Germain-des-Prés

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18/10/2022 – 21/11/2022
le 17/10 à 18h   vernissage avec le Parcours Saint-Germain

Mohamed Bourouissa

Pour une poignée de dollars



Mohamed Bourouissa produit une œuvre pluridisciplinaire ancrée dans la représentation de l'espace urbain et des réalités sociales de notre temps. Il porte un regard critique sur l’image des médias de masse, et les sujets de ses œuvres sont les laissés-pour-compte, à la croisée de l’intégration et de l’exclusion. Ses projets sont tous précédés d’une longue phase d’immersion.

Cette sculpture est le portrait de James, un des cavaliers qui a participé à son film Urban Riders (2014-2015), réalisé à Philadelphie avec les noirs-américains de l’écurie de Fletcher Street. Pendant 8 mois, Mohamed Bourouissa a vécu avec cette communauté. Pour eux,  il a créé un événement, “the Horse Day” (la journée dédiée au cheval), pendant laquelle les cavaliers ont concouru en habillant leurs chevaux de costumes réalisés en collaboration avec les artistes de la région. Le gagnant des joutes, désigné par un jury local, a remporté quelques dollars, et le respect de tous.

Sorte de western contemporain, Urban Riders déconstruit le mythe de la conquête de l’Ouest, celui du cowboy blanc, bourru, personnifié par John Wayne et mis en scène par Hollywood, qui a effacé de la mémoire collective américaine le rôle des afro-américains dans son histoire.

Dans le cadre de ce projet, Mohamed Bourouissa a en outre réalisé des portraits en 3D de quelques-uns des protagonistes du film, dont certains ont été exposés au Musée d’Art moderne de Paris dans le cadre de son exposition en 2018. Parallèlement, il a développé une série de sculptures composées d’éléments de carrosserie, sur lesquelles sont imprimées des photographies extraites du film. L’ultime déclinaison de ce projet est une récente série de portraits sculptés, également sur capots de voitures rendus photosensibles, dont un exemple monumental est présenté ici pour la première fois. Le titre de cette œuvre, Pour une poignée de dollars, renvoie directement à un classique du western réalisé par Sergio Leone en 1964.



Mohamed Bourouissa est représenté par la galerie Kamel Mennour →


Parcours Saint-Germain x Photo Days

www.parcoursaintgermain.com
@parcoursaintgermain

Place Saint-Germain-des-Prés – Paris 6e
installation visible tous les jours à toute heure

accès libre

Café de Flore

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18/10/2022 – 29/10/2022
le 17/10 à 18h     vernissage en présence de l'artiste

Gregor HILDEBRANDT



L’utilisation de cassettes audio et vinyles comme médium constitue la signature de Gregor Hildebrandt. Pratiquant le collage, l’artiste les assemble dans des peintures, des sculptures et des installations en apparence minimalistes, mais d’un romantisme latent. Discrètement, sous la surface brillante de son esthétique analogue qui frôle le monochrome noir et blanc, la musique et le cinéma obsèdent sa pratique. Toutes ses œuvres, qu’elles soient picturales ou sculpturales, contiennent des matériaux préenregistrés — généralement une seule chanson — auxquels il est fait référence dans les titres. Ces sources de la culture pop sont censées déclencher des souvenirs collectifs et personnels. Comme les supports de stockage analogues, sa technique distinctive de copie est une métaphore du processus mnésique même : elle consiste à frotter un revêtement magnétique sur de l’adhésif double-face collé sur une toile pour tracer des schémas poudrés complexes et furtifs.

“Il y a un miroir dans le Café de Flore. Une peinture avec des bandes VHS, qui n’ont pas été enregistrées et qui ont été collées sur la toile de telle manière que leur surface brillante reflète ce qui se trouve autour.
Contient-elle un film? Un film à propos du Café? Peut-être un film avec Catherine Deneuve, Jean Seberg ou Jean-Paul Sartre. Tous sont reflétés dans ce film, dans ce Café. Ou bien les bandes sont vides. Et le visiteur imagine ici le film de sa vie, dans lequel il se reflète lui-même.”

Gregor Hildebrandt
septembre 2022


Gregor Hildebrandt est représenté par les galeries  Almine Rech, Perrotin et Wentrup


Café de Flore

Café Louise

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18/10/2022 – 29/10/2022
le 17/10 à 18h     vernissage en présence de l'artiste

FLORE

Un jardin pour Eugène D.


Par des interventions techniques raffinées au laboratoire, en alchimiste même, FLORE façonne et restitue le monde qui se déploie sous ses yeux pour en faire des images uniques qui s’éloignent de la réalité photographique conventionnelle, créant une fusion entre le fond et la forme. Elle questionne ainsi le médium photographique en passant avec aisance des techniques les plus anciennes comme le platine-palladium ou le cyanotype, aux plus modernes, en les mixant parfois et en intervenant physiquement sur les tirages avec de la cire, de l’or ou des pigments.

FLORE est totalement engagée dans la quête de la mémoire et réalise des images « non sensationnelles » qui tentent de recréer de la vérité à la place d’un réel qui s’efface peu à peu. Loin de toute nostalgie, son travail teinté de mélancolie interroge le statut de l’image dans nos sociétés contemporaines et tente de proposer une alternative aux tourments du monde en invitant le spectateur à rentrer dans son monde poétique.



Avec l'aimable autorisation du Musée national Eugène-Delacroix.
FLORE est représentée par la Galerie Clémentine de la Féronnière.



Café Louise

Les Deux Magots

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18/10/2022 – 29/10/2022
le 17/10 à 18h     vernissage en présence de l'artiste

Baptiste RABICHON

Vues d'artiste



À l’heure où le télescope James Webb nous fait parvenir de bouleversantes images des étoiles dans une définition jusque-là inédite, Baptiste Rabichon fait des allers-retours entre sa table à dessin lumineuse et le noir absolu de son labo photo. Il nous en rapporte ses propres visions du Cosmos, une nouvelle série intitulée “Vues d’artistes”, en hommage à ces illustrations d’objets, d’êtres ou de phénomènes dont on ne dispose pas de représentations photographiques, et qui accompagnent souvent les articles de vulgarisation scientifique. Vues d’artiste est une promenade dans un univers fantasmé, peuplé d’astres et de paysages insolites, résultant d’une étrange alchimie, entre geste du dessin et processus photographique.

Baptiste Rabichon dessine des sphères, des points, des taches sur des feuilles de papier calque... Puis dans l'obscurité de la chambre noire, il pose ces esquisses transparentes sur du papier photosensible avant d’enclencher l’agrandisseur... Et la lumière, traversant le calque, créé la nuit. C’est une version actualisée de la technique du cliché-verre, bien connue depuis le XIXème siècle. Un authentique noir photographique qui vient englober le dessin, transformant ainsi chaque sphère, point, tache en autant de planètes, étoiles et galaxies. Par la rencontre du dessin et du photogramme naissent donc ces petits univers que Baptiste Rabichon fabrique autant qu’il les regarde apparaître, se rappelant sans cesse qu’image est l’anagramme de magie.



Les Deux Magots

Dinh Van

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18/10/2022 – 29/10/2022
le 17/10 à 18h     vernissage

Ellen CAREY

Dings & Shadows



Réputée pour son travail expérimental sur la structure et les racines de la couleur, selon Ellen Carey, la couleur est un langage universel et la théorie de la couleur - celle du RGBYMC - est le lexique des photographes. Elle considère la couleur comme sujet et objet, un matériau avec du sens, un processus à l’intérieur même de son art.

Une autre thématique qu’explore l’artiste est celle de l’ombre (ombre/silhouette, clair/obscur, positif/négatif), que l’on retrouve dans plusieurs œuvres phares telles Mourning Wall, Self-Portrait at 48 et Stopping Down. La lumière, son partenaire indissociable, contient et libère la couleur. Carey travaille avec ou totalement sans lumière, en chambre noire, la lumière n’a pas le droit d’entrer jusqu'au moment de l’exposition de l’image.

Ellen Carey rassemble son imagination, son savoir-faire et son talent dans une boîte noire et résulte un objet éclatant de couleurs fortes, et pose la question du processus photographique tel que nous le comprenons.






Dinh Van

Galerie XII

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9/11/2022 – 28/1/2023
le 8/11 à 18h     vernissage en présence de l'artiste

Christopher THOMAS

Exquise Nostalgie



Exquise Nostalgie est une série de photographies réalisées par le photographe allemand Christopher Thomas pendant près d'une décennie, des années 2000 à 2020. Prises à plusieurs endroits dans le monde, les photographies montrent une gamme de sujets allant d'un bar découvert à Galveston, au Texas, à un manège abandonné près de la centrale nucléaire de Tchernobyl en Ukraine. Les photographies oscillent entre la tristesse et la joie, le regret et la nostalgie, la jeunesse et l'expérience, évoquant une perte d'innocence alors que l'enfance est dépassée. Ils partagent une tension cinématographique étrange et surtout une absence de figures humaines suggérant un air d'abandon. Thomas cite l'influence des peintures d'Edward Hopper sur le projet et son admiration pour la photographie de Roger Ballen et Paolo Ventura.





Galerie XII

www.galeriexii.com

instagram
@galerie_xii

01 42 78 24 21
paris@galeriexii.com

10 et 14 rue des Jardins Saint-Paul – Paris 4e
mardi-vendredi 14h-19h / samedi 12h-19h / et sur rdv

accès libre



Expositions passées

30/9/2022 – 5/11/2022

le 29/9 à 18h     vernissage en présence de l'artiste

Sacha GOLDBERGER

Alien Love



Galerie XII Paris est heureuse d’annoncer la première exposition du photographe français Sacha Goldberger. Après le succès de ses séries iconiques à l’instar de Mamika ou Super Flemish, l’exposition sera concentrée sur ses séries les plus récentes : Extra Not So Terrestre et I Want to Believe, initiées en 2020.

« Les normaux m’effraient, ils tolèrent la réalité. La dinguerie de Sacha Goldberger m’apaise. Il conteste au réel le droit d’avoir le dernier mot. En apparence, Sacha est photographe. En vrai, il est contre la vie dépoétisée. Contre toutes les formes perfides de limitations. Contre l’impoésie. Contre la non introduction de la liberté dans les champs visuels.
Alors cela donne des photographies hallucinées qui ont le grain du réel, l’odeur des vrais motels, la nonchalance des véritables extra-terrestres en goguette. » 
Alexandre Jardin




Galerie 75 Faubourg

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2/12/2022 – 23/12/2022
le 1/12 à 18h     vernissage en présence de l'artiste

Amanda STHERS

Le lendemain, tout a changé


“Il y a une quinzaine d’années, j’ai acheté la photographie ancienne d’une jeune femme aux puces. Ce portrait qui avait peut-être jadis été chéri par un homme, était abandonné dans une boîte près de poupées cassées, anonyme, sans destin. De retour chez moi, je lui en ai inventé un, à travers une lettre qui lui était adressée. De brocantes en vide greniers, au fil des années, j’ai recueilli dans mon monde fantasque des enfants, des familles, des couples qui se mariaient, d’autres qui avaient du mal à faire semblant devant l’objectif.

J’ai pris les faibles indices, les dates au dos des photos, des prénoms, le lieu et j’ai inventé des histoires à ces gens dans ce que j’imaginais être leur langue. Parfois, je leur ai associé des objets ou d’autres photographies... Au lieu d’être des fantômes sans nom dans la poussière, ils sont désormais les héros d’un instant de vie fracassant qui devient une réalité dès que d’autres posent leurs yeux dessus, sourient, pleurent, partagent. Il y avait dans cet exercice tout ce que ma vie d’artiste m’a amenée à faire, ça mêlait l’empathie, l’imagination, l’observation, l’esthétisme, la capacité à croquer une histoire en quelques phrases. Ces oeuvres devaient être destinées aux murs de ma maison mais il m’en fallait toujours plus et je n’ai pu arrêter le besoin de m’inventer cet arbre généalogique imaginaire.

A l’heure de la multiplication des clichés virtuels, il nous apparaît avec plus d’évidence encore l’importance de ces photos souvent solennelles, quatre portraits devaient exprimer une vie: baptême, portrait, mariage, photo de famille. Katy Wellesley Wesley, m’a autorisée à penser que j’avais créé des oeuvres d’art qu’il fallait exposer, faire vivre, puis Laura Serani qui est la curatrice de l’exposition qui va les mettre à l’honneur et a plongé dans mon album avec des yeux d’enfant et un regard de sage. Il est étrange pour moi d’avoir créé des oeuvres uniques et de savoir qu’elles iront dormir chez d’autres gens, continuer leurs destins sans moi. Est-ce un hasard si je les expose l’année où mon second fils va lui aussi quitter le nid? Je vous souhaite la bienvenue dans une part de ce que je suis. Je suis heureuse de vous présenter quelques uns de mes amis et ma famille imaginaires.”






Galerie 75 Faubourg

Le 100

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3/11/2022 – 22/12/2022
le 3/11 à 18h30   vernissage en présente des artistes

Charlotte CHARBONNEL / Nicolas DHERVILLERS / Sophie HATIER / Jeanne REVAY / Andrea VAMOS / Mireille FAVERGEON

Le souffle léger du vivant



Comment définir le vivant ? Déceler dans l’immobilité de l’instant l’indice le plus ténu de ce qui est animé.

Le différencier de ce qui est inanimé. Il y a quelques années, une jeune chercheuse japonaise en robotique a tenté de reproduire grâce à l’intelligence artificielle l’imperceptible trace du vivant. Elle est venue à Paris présenter ce robot un peu étrange. Une peluche informe était perchée en haut d’un socle sur la scène. Ce robot, sans membre qui le rapprocherait d’un mammifère, sans yeux qui pourrait accrocher le regard, ne faisait rien. Mais une émotion se dégageait du mouvement imperceptible de son enveloppe : il respirait.

Avec la régularité irrégulière et fragile du vivant. Tel est le sujet de l’exposition : la capacité de la photographie, dans son instantanéité, à saisir l’infime mouvement, la respiration la plus légère, la trace subtile et pourtant vivace. Il y a quelque chose de réjouissant à réaliser la présence du vivant. Quelque chose de rassurant aussi dans le lien qui s’établit entre soi et la pulsation minimale.

C’est dans une immatérialité presqu’abstraite, dans une sobriété de moyen, que s’exprime le mieux le caractère essentiel de notre lien au vivant. Ainsi, les photographies de paysages de canicule de Sophie Hatier, laissent deviner la présence écrasée de la végétation, dans l’aplat de l’image soumise à une lumière si saturée qu’elle en devient absente. Les Quatuors (2016-2021) de Jeanne Revay, captant les vibrations du monde qui agitent l’air, le ciel, la mer, réinventent les mondes observés avec grâce et légèreté. Un monde insaisissable à l’œil nu : c’est ce que nous montrent les œuvres d’Andrea Vamos. Ces pellicules vierges, suspendues à la manière de tentures dans la nature, impriment les traces invisibles de la nature, nous immergent dans une forêt d’images se situant à la lisière de l’imperceptible (Sans titre, série « After Works », 2020). 
Sans s'absoudre de la réalité, la série de Nicolas Dhervillers, The Light has always been there (2018), offre au regard les plateaux neigeux de l’arctique et de l’antarctique, territoires « vierges » : portant les signes d’un changement d’état imminent, ils nous interrogent sur le futur de l’humanité, à l’ère de l’anthropocène.
La vidéo de Charlotte Charbonnel, Les larmes de la terre – prélude - (2021), nous plonge au cœur de la matière terrestre en filmant au ralenti les coulées de lave en ébullition (au rythme de 100 images secondes). Des images mystérieuses qui portent en elles « tant les origines du monde que sa fin » (Laure Prouvost).

Et si le travail de l’émail s’approchait de celui de la photographie ? C’est qui apparaît dans la recherche de Mireille Favergeon dont les grandes conques en grès et porcelaine, ces Morceaux de mer, tentent de retenir la fluidité de l’eau.

Véronique Hublot-Pierre
& Domitille D’Orgeval




Le 100 · Etablissement culturel solidaire

110 Galerie

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7/10/2022 – 3/12/2022
le 6/10 à 18h     vernissage en présence de l'artiste

Alain BIZOS

La Gazette de BizBiz.



La 110 galerie est heureuse d’annoncer l’exposition « La Gazette de BizBiz. » d’Alain Bizos. L’exposition a été pensée comme un journal : un tour du monde en solex dans l’objectif de celui qui se définit comme « artiste-reporter-photographe ».
En effet, Alain Bizos a partagé sa carrière entre Libération et l’agence VU’, le groupe de graphistes Bazooka ou encore Actuel, le mensuel « Nouveau et intéressant » et a ainsi positionné son œuvre sur un fil tendu entre les champs de l’art et de l’information. Il revendique depuis les années 70 un art activiste et engagé avec comme armes l’humour et la dérision.
Des vols qualifiés de 1971 accompagnés de certificats de recels aux collages de sa Gazette, parodie pseudo-communiste publiée sur Instagram pendant les confinements des deux dernières années, en passant par deux séries noir et blanc des années 80, l’exposition dressera le portrait d’une œuvre personnelle à forte teneur politique, hétérogène et originale mais aussi férocement drôle.




9/12/2022 – 4/2/2023
le 8/12 à 18h     vernissage en présence des artistes

Désirés

Lusted Men



Le collectif Lusted Men et la 110 galerie invitent 8 artistes de la scène française qui portent un regard érotique sur des corps d’hommes et proposent d’autres chemins de désir.

Dans « Le salon des confidences », l’autrice et journaliste scientifique Elisa Brune écrit que le regard érotique se déploie par l’exercice d’une “attention inhabituelle”. C’est ce à quoi s’attachent les artistes présenté·x·es dans cette exposition : au moyen de différents médiums et de sensibilités singulières, iels débrident et élargissent – chacun·e à leur manière – le champ du désirable.
À rebours de l’iconographie traditionnelle qui, de l’Histoire de l’Art à l’industrie publicitaire, a fait de la féminité un objet de convoitise, leurs travaux investissent, élargissent et parfois subvertissent le domaine des représentations érotiques (Alireza Shojaian, Arthur Gillet). De formes fantasmées (Sarah Kalvar, Arthur Gillet) à la documentation du quotidien (Karla Hiraldo Voleau, KIM), le parcours aborde plusieurs thématiques touchant au désir et aux masculinités. Il questionne la place de la distance et celle du langage dans nos vies érotiques (KIM), les codes genrés et les rapports de forces qui agissent dans la séduction et la sexualité (Karla Hiraldo Voleau, Rebekka Deubner), le regard désirant à l’épreuve du temps ou au sein du couple (Mila Nijinsky, Solène Ballesta) – et nous engage à porter notre curiosité hors des sentiers battus de l’hétéronormativité (Rebekka Deubner, Alireza Shojaian ). Enrichir le champ des représentations érotiques d’hommes, c’est se donner collectivement des images et des récits qui constituent le liant de nos expériences, et influencent les possibles formes de nos vies érotiques. Il s’agit ici, non seulement de renverser ses yeux, mais aussi de placer l’appareil photo, le pinceau, la graphite ou la plume dans d’autres mains que celles qui les ont longtemps tenus.





110 Galerie

193 Gallery

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3/11/2022 – 23/12/2022
le 5/11 à 16h     vernissage en présence de l'artiste

John YUYI

Yuyi's Bodies


Narcisse 2.0. Et si l'obsession du moi était finalement la clé pour comprendre les autres ? Un miroir sans teint qu'il est parfois plus aisé d'occulter. Ne sommes nous pas des individualités chargées du reflet de la société/des autres ? Mais de quelle société parlons nous finalement à l'heure du règne des réseaux sociaux et de l'avènement du faux ?

John Yuyi jeune photographe Taïwanaise porte un regard unique sur le monde qui l'entoure. Sous son objectif son corps devient toile, son narcissisme pinceau mais c'est pourtant bien le regard, la connection et l'acceptation de l'autre qui fascine l'artiste. Une étude obsessionnelle du Moi comme moyen de se rattacher à l'autre et de soigner ses propres névroses.




193 Gallery

www.193gallery.com
instagram @193gallery

01 45 31 54 16
cesar@193gallery.com

24 rue Béranger – Paris 3e
mardi-samedi 10h30-19h / et sur rdv

accès libre

CPIF

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16/10/2022 – 15/1/2023
le 15/10 à 15h     vernissage en présence des artistes

Nicolas GIRAUD / Bertrand STOFLETH

La Vallée



Durant dix ans, les artistes Nicolas Giraud et Bertrand Stofleth ont arpenté un territoire modeste mais exemplaire, une succession de vallées qui relient la Loire au Rhône et qui furent l’un des berceaux de la révolution industrielle. La Vallée est le résultat de ce vaste projet de captation photographique où les images opèrent comme des coupes temporelles. Leurs cadres rassemblent des objets éloignés dans le temps pour les réunir dans l’image. La Vallée se déploie ainsi comme une mise en tension des éléments qui forment le paysage et témoignent de son histoire.

En regard de La Vallée, l’exposition présente deux autres projets individuels récents, New sites of technology et Recoller la Montagne, qui prolongent la reflexion menée en commun. Ils donnent à voir les échos de La Vallée dans la démarche de chacun des deux artistes.




Centre Photographique Île de France

www.cpif.net

instagram
@cpif_

01 70 05 49 80
contact@cpif.net

107 avenue de la République
Pontault-Combault (77)

mercredi-vendredi 13h-18h / samedi-dimanche 14h-18h

accès libre
visite commentée gratuite les dimanches à 15h



Centre Pompidou

→ Galerie de Photographies


7/11/2022 – 27/2/2023

2-4/12
Forum Climat : Quelle culture pour quel futur ?

Décadrage colonial



« Ne visitez pas l’exposition coloniale ». En 1931, en réaction à l’ouverture de l’exposition coloniale internationale à Vincennes, les membres du groupe surréaliste dénoncent la politique impérialiste de la France.
L’exposition « Décadrage colonial » propose de revenir sur ce chapitre singulier, et les imaginaires visuels générés à l’époque grâce à la photographie, dont les usages connaissent alors un essor considérable dans la presse et l’édition.

commissariat · Damarice AMAO

Artistes présentés :
Pierre ADAM, Laure ALBIN-GUILLOT, Denise BELLON, Pierre BOUCHER, Emeric FEHER, Pierre ICHAC, François KOLLAR, Germaine KRULL, Boris LIPNITZKY, Eli LOTAR, Man Ray, Roger PARRY, Albert RUDOMINE, André STEINER, Maurice TABARD, Raoul UBAC, Pierre VERGER, René ZUBER



FORUM CLIMAT
Quelle culture pour quel futur ?

du 2 au 4 décembre

Commande réalisée pour le Centre Pompidou © SMITH, 2022
Et si la transition écologique était avant tout une transition culturelle ? Telle est la question au cœur du forum Climat : quelle culture pour quel futur ?, organisé en partenariat avec l’Ademe (l’Agence de la transition écologique). Durant trois jours, le public est convié à réfléchir sur l’évolution de la société, à imaginer un monde vivable pour 2050 et à débattre de solutions concrètes en compagnie de scientifiques, d’artistes et d’activistes.

→ programme complet sur le site du Pompidou


le 2/12 de 19h à 21h
Niveau 5, Forum Grand Salon, entrée libre

CONFÉRENCE D’OUVERTURE
La transition écologique est-elle « culturelle » ?



le 3/12 entre 14h et 19h30
Niveau –1, Grande salle, entrée libre

CONTROVERSES

récits et performances

Ces échanges abordent les choix de société irrigant les différents scénarios de transition écologique. Les intervenants apporteront des éléments d’éclairage par le biais de partages d’expériences et de récits de recherches artistiques.

avec Catherine RADOSA
“Un territoire en résistance face à la planification urbaine”
Membre de The Crown Letter, exposée durant Photo Days 2021 à la Fondation Fiminco


le 4/12 entre 14h et 18h
Niveau –1, Grande salle, entrée libre

ASSEMBLÉES

récits et performances

Ponctuées par des récits d’artistes et d’acteurs du monde culturel, ces deux assemblées ont vocation à donner voix à l’engagement collectif et se tiennent dans une scénographie invitant le public à interagir avec les intervenant(e)s. 

avec SMITH
“Traces thermiques du vivant au Centre Pompidou”
Artiste-chercheur, lauréat 2021 du Grand Prix Photo Paris je t’aime x Photo Days, et exposé à La Caserne en novembre 2022.



Centre Georges Pompidou

Centre des Arts d’Enghien-les-Bains

→ y aller


21/9/2022 – 18/12/2022
en cours     vernissage en présence de l'artiste

Prométhée, le Jour d'après

Caroline Le Méhauté | Justine Emard | Alice Pallot | Frederik De Wilde | Pierre Jean Giloux | Sarah Caillard | Sabrina Ratté | Mathieu Zurstrassen | Void : Arnaud Eeckhout & Mauro Vitturrini | Filipe Vilas-Boas | Charlotte Charbonnel | Raymond Delepierre | Adrien Lucca | Thy Truong Minh



Avec la naissance de l’informatique dans les années 60 et l’avènement du numérique qui s’en suivit, nous assistons aujourd’hui à la 4ème révolution industrielle. Point de convergence des mondes physique, numérique et biologique, son ampleur et ses développements ont permis de concevoir les principes d’intelligence artificielle, d’impression 3D, de réalité virtuelle, autant de perspectives qui mettent en évidence de nouveaux enjeux civilisationnels. De la stupéfaction à la crainte d’être supplanté par des machines, toutes ces avancées génèrent des émotions contradictoires. Ce phénomène, le philosophe allemand Günther Anders l’appelle la « honte prométhéenne ». La notion désigne le sentiment de faiblesse qui s’empare de l’être humain quand celui-ci compare sa condition biologique à la toute-puissance de la machine.





Centre des Arts d’Enghien-les-Bains

Centre des Sciences et des Arts

→ à Saint-Ouen-sur-Seine (93)


7/11/2022 – 4/12/2022
le 10/11 à 19h     vernissage en présence de l'artiste

David MUNOZ

Nature de Paysages



Le centre des sciences et des arts de Saint-Ouen-sur-Seine accueille l'exposition Nature de paysages de l'artiste David Munoz.

Nature de Paysages est une exposition conçue par l’artiste plasticien David Munoz. Ce projet d’exposition questionne la capacité de l’homme à s’accrocher aux images sensibles fabriquées par son esprit au détriment d’une réalité biologique fragilisée. L'artiste souhaite par le biais de la photographie, de la vidéo, de la photogrammétrie et de l’image virtuelle confronter le spectateur à une réalité composée et composite du paysage de montagne. Le paysage est une forme spirituelle qui fusionne vision et créativité jusqu’à produire un “paysage idéalisé” dans notre esprit et notre inconscient collectif. L’homme modèle les territoires avec sa culture ; il fournit et invente des images du monde. Il se construit un univers d’impressions jusqu’à élaborer une interprétation vivante de celles-ci. Selon Schopenhauer, l’art du paysage constitue un ensemble de formes et de données perceptives, un produit de l’activité et de l’imagination. Dans cette perspective, à travers son exposition Nature de Paysages, David Munoz souhaite produire une réalité du paysage capable de traduire la fusion entre l’esprit et la matière, afin de combiner l’image mémorielle à celle de la réalité actuelle du paysage.




Centre des Sciences et des Arts / Galerie Mariton

Institut Culturel du Mexique

→ y aller


12/11/2022 – 19/1/2023
le 18/11 à 10h30
RSVP
visite de l’exposition de Nadja Massün "Oaxaca-Transylvanie" par la chargée des expositions Ingrid Arriaga

Nadja MASSÜN

OAXACA-TRANSYLVANIE


Photographe nomade, Nadja Massün (1963-2022), a fait de l’œil son territoire. Son œuvre poétique nous propose un voyage depuis l'intimité de sa maison au Mexique jusqu'aux campagnes d'Europe centrale, principalement en Roumanie et en Hongrie.

Son ultime exploration immortalise les joies et les peines de la vie quotidienne dans les zones rurales d'Oaxaca et de Transylvanie : les traditions textiles et musicales, le travail collectif, la culture du maïs… Éternelle humaniste, Nadja Massün lègue une œuvre à la mesure de son talent, sensible et délicate. L’harmonie qui s’en dégage emplit les cœurs humains.




Institut Culturel du Mexique

www.instagram.com/idemexparis

119 rue Vieille du Temple – Paris 3e
lundi-vendredi 10h-13h et 14h-18h / samedi 15h-19h

accès libre

Rencontres d’artistes
chez we are_

→ y aller


26/10/2022 - 7/12/2022
chaque mercredi de 18h30 à 20h30
accès libre sur réservation

Les artistes font salon.



Photo Days vous invite à rencontrer les artistes de manière informelle dans l’ambiance chaleureuse du club privé We Are_.

Venez échanger avec eux en petit comité pour mieux comprendre leur démarche et découvrir leur vision. 

 

mercredi 26 oct

Baptiste RABICHON · Photo Pas Photo
Didier QUILAIN · Galerie La Forest Divonne
Illés SARKANTYU · Galerie La Forest Divonne
Philippe Alexandre CHEVALLIER · Hegoa Home Gallery
Philippine SCHAEFER · Galerie Leneuf Sinibaldi

mercredi 2 nov

Denis DARZACQ · Galerie RX
Sara IMLOUL · 110 Galerie
Morvarid K. · Bigaignon
Chantal STOMAN · Galerie Sit Down

mercredi 9 nov

Sarah BALEY · 1831 Art Gallery
Kristin BEDFORD · Galerie Hug
José DINIZ
· Collectif Iandé
Costanza GASTALDI · Bruno Moinard Éditions
K-narf & Shoko · Galerie Écho119

mercredi 30 nov

Juliette AGNEL · Clémentine de la Féronnière
Jean-Christophe BÉCHET · La Galerie des Photographes
Gabriel DIA · Fisheye Gallery
Delphine DIALLO
· Fisheye Gallery
FLORE
· Clémentine de la Féronnière
Thomas JORION · Galerie Esther Woerdehoff
Mindaugas GABRENAS · La Galerie des Photographes
Alice GUITTARD · Photo Pas Photo

lundi 5 déc

Thomas DEVAUX · Galerie Bacqueville
Juliette-Andréa ELIE · baudoin lebon
Laurent GOLDRING
· Galerie Maubert
Pierre-Elie DE PIBRAC · Anne-Laure Buffard Inc.

mercredi 7 déc

Claire ADELFANG · Le Royal Monceau
Anne-Lise BROYER · Frank Horvat Studio
Sacha GOLDBERGER · Galerie XII
...




we are_

avec l’aimable soutien du Château Jean Faure et Mas Amiel
   

Photo Days & l’Office du Tourisme




jusqu’au 20/11/2022 à minuit
candidatures sur Instagram #ParisjetaimeenSeine



Concours instagram #ParisjetaimeenSeine


Photo Days et l’Office du tourisme et des Congrès de Paris se sont associés pour lancer le Concours instagram #Parisjetaime, en partenariat avec Leica et Initial LABO, sur le thème de La Seine en 2022.

Le lauréat remportera un appareil de photographie Leica D-lux 7 et une séance de tirage en laboratoire pour sa photographie gagnante chez Initial LABO.



Lauréat 2021 · Bertrand BERNAGER 




Pour jouer au jeu-concours :

  1. Utilisez votre appareil photo ou smartphone.

  2. Laissez libre cours à votre imagination et prenez vos plus beaux clichés de la Seine à Paris.

  3. Partagez 3 clichés dans un même post sur votre compte Instagram avec les mentions @leicacamerafrance @parisjetaime @photodays.paris et #parisjetaimeenseine



Modalités d’inscriptions au concours à retrouver sur le site parisinfo.com


Office du Tourisme / Photo Days

Photo Days & l’Office du Tourisme



Grand Prix
Paris je t’aime × Photo Days



Photo Days et l’Office du tourisme et des Congrès de Paris se sont associés en 2021 pour lancer le Grand Prix de Photographie Paris je t’aime × Photo Days. Le prix a été remporté par SMITH.

Lauréat 2021 · SMITH


Doté de 15000€ et réservé aux artistes et professionnels, le thème du prix en 2021 était « Paris Vert ». Le thème 2023 sera annoncé lors du vernissage de l’exposition du Lauréat à La Caserne le 10 novembre 2022.




Office du Tourisme / Photo Days

L’Entrepôt + Bibliothèque François Villon




le 4 nov de 14h à minuit
et le 5 nov de 11h à minuit

Festival dedié au film photographique

Les Nuits Photo



Les NUITS PHOTO est un festival de cinéma dédié à un nouveau genre : le film photographique.

Mais qu'est ce qu'un film photographique ? C'est un format d’expression artistique sans frontières, la réunion parfaite entre l’intensité poétique du son et la puissance de l’instantané photographique, qui nous plonge dans une nouvelle dimension, une expérience sensorielle au-delà de la photographie, tout en épousant les codes du cinéma.

Les NUITS PHOTO se situent à la charnière du cinéma et de la photographie - et tout ceux qui les incorporent - et permettent de (re)penser une histoire commune.
En ravivant ce lien manquant entre image fixe et image animée, les NUITS PHOTO deviennent un moment de rencontre et d’échange entre les créateurices de deux milieux, pour le moment sans espace commun de rencontre, et ce malgré une création et des mediums analogues. Le festival se positionne comme un réel acteur de cette dynamique inter-artistique et de la circulation des pratiques créatives.

Au programme de l'édition 2022 Spéciale son
  • projections
  • performances live
  • installation
  • ateliers
  • tables rondes
  • lectures de projets

→ consulter ici la programmation complète



Les Nuits Photo

Le Grand Rex

→ y aller



date à venir
entrée libre dans la limite des places disponibles


Soirée de projection



(programmation à venir)

programmation · Jessica Castex




Cinéma Le Grand Rex

date à confirmer
entrée libre sur réservation