Centre national de la danse
→ y aller3/11/2023 – 16/12/2023
Olivia BEE
I felt the stars in that room.
Exposition présentée par Dance Reflections by Van Cleef & Arpels et le Centre national de la danse, dans le cadre de Photo Days
À l’occasion des premières éditions du festival Dance Reflections by Van Cleef & Arpels, à Londres en mars 2022 et à Hong Kong en mai 2023, la photographe américaine Olivia Bee a suivi les chorégraphes et les danseurs jour après jour. Ces rencontres avec la scène chorégraphique contemporaine ont donné naissance à une série de clichés argentiques qui suspendent, comme dans un flottement, le mouvement et la beauté de l’instant.
« En assistant aux spectacles, j'ai essayé de capter des moments où les danseurs se déplaçaient ensemble d'une manière picturale, comme un tableau encadré dans un musée. Dans les coulisses, en studio ou dans la rue, je voulais montrer un instantané plus intime de la préparation de ces moments sur scène. »
Olivia Bee


Centre national de la danse - CN D
www.cnd.fr
instagram
@le_cnd
01 41 83 27 27
reservation@cnd.fr
1 rue Victor Hugo – Pantin (93)
mardi-vendredi 10h-18h / samedi 13h-18h
et les soirs de représentations
accès libre
@le_cnd
01 41 83 27 27
reservation@cnd.fr
1 rue Victor Hugo – Pantin (93)
mardi-vendredi 10h-18h / samedi 13h-18h
et les soirs de représentations
accès libre
Fondazione Sozzani
→ y aller7/11/2023 – 28/11/2023
le 7/11 à 18h vernissage en présence de l’artiste
Rinko KAWAUCHI
M/E
Pour la première fois depuis 2005, Rinko Kawauchi revient à Paris, avec une exposition pensée sur mesure pour Photo Days dans un lieu privé exceptionnel, la Fondazione Sozzani.
Rinko Kawauchi (née en 1972) est réputée pour la douceur et la luminosité de ses photographies couleurs qui révèlent, depuis ses premières œuvres, le mystère, l'éclat, la fragilité et la force de la vie sous toutes ses formes. Son regard se pose aussi bien sur les êtres délicats de son environnement immédiat, qu'il s'agisse de la flore, de la faune ou des membres de sa famille, que sur les grandes forces de la nature que constituent les volcans et les glaciers formés au cours de longues périodes temporelles. La sensibilité unique de sa photographie révèle les liens entre ces sujets, qui brillent tous d'un même éclat vital.
L’exposition imaginée ici par Rinko Kawauchi est constituée d’une installation spectaculaire qui occupe la hauteur sous plafond de cet ancien bâtiment industriel, d’une vidéo, et d’un ensemble de photographies sélectionné à partir de ses dernières séries, M/E, An Interlinking et Illuminance.





Avec le soutien de Dance Reflections by Van Cleef & Arpels
Née en 1972, Rinko Kawauchi vit et travaille au Japon.
Représentée par la galerie Priska Pasquer Paris →
Née en 1972, Rinko Kawauchi vit et travaille au Japon.
Représentée par la galerie Priska Pasquer Paris →
Fondazione Sozzani
www.fondazionesozzani.org
instagram
@fondazionesozzani
22 rue Marx Dormoy – Paris 18e
accès libre sur rdv
@fondazionesozzani
22 rue Marx Dormoy – Paris 18e
accès libre sur rdv
Sorbonne Artgallery
→ place du Panthéon9/11/2023 – 3/12/2023
le 9/11 à 18h vernissage en présence de l'artiste
Véronique ELLENA
Le ciel, la terre, et tout ce qu’ils renferment
Pour la Sorbonne Artgallery, Véronique Ellena propose une vision inédite du Vitrail du Millénaire de la Cathédrale de Strasbourg qu’elle a créé en 2015, suite à l’obtention d’une commande de la Direction Régionale des Affaires Culturelles. Cette œuvre a été réalisée avec Zabou Carrière pour le design graphique, et en étroite collaboration avec le maître-verrier Pierre-Alain Parot, qui nous a quittés cette année.
Dans “Le ciel, la terre, et tout ce qu’ils renferment”, l’artiste rend hommage au maître-verrier et à son atelier, tout en proposant des photographies en dialogue avec l’architecture de la Galerie Soufflot.
Transformant les vitrines de la Sorbonne Artgallery en autant de détails extraits de l’œuvre originale et en écho avec les médaillons de mosaïque qui les surplombent, Véronique Ellena propose une mise en abyme de la représentation où la photographie sur vitrail redevient elle-même photographie.



Sorbonne Artgallery
www.sorbonneartgallery.com
instagram
@sorbonneartgallery
01 44 07 79 85
RSVP obligatoire, sorbonneartgallery@univ-paris1.fr
12 place du Panthéon – Paris 5e
lundi-samedi 10h-18h / et sur rdv
accès libre
@sorbonneartgallery
01 44 07 79 85
RSVP obligatoire, sorbonneartgallery@univ-paris1.fr
12 place du Panthéon – Paris 5e
lundi-samedi 10h-18h / et sur rdv
accès libre
Fondation des Artistes
Rotonde Balzac
→ à l’Hôtel Salomon de Rothschild10/11/2023 — 3/12/2023
le 10/11 à 17h vernissage en présence de l’artiste
Elger ESSER
Le Lys dans la Vallée
La Fondation des Artistes accueille à nouveau Photo Days qui invite Elger Esser à se plonger dans l’œuvre de Balzac et exposer son projet dans la Rotonde éponyme ouverte pour l’occasion.
Les références littéraires sont en effet nombreuses dans l’œuvre de l’artiste Franco-Allemand, issu de ce que l’on appelle communément « l’école de Düsseldorf ». Entre 1998 et 2005, Elger Esser a beaucoup photographié les berges de la Loire, et notamment les moulins de l’Indre. À notre demande, il s’est donc replongé dans ses archives, pour y chercher la trace de celui décrit précisément par Balzac dans Le Lys dans la vallée.
Dès 2016, avec son projet sur Combray, Elger Esser avait été l'un des premiers artistes à rétablir l’usage de l'ancienne technique de l'héliogravure dans l'art photographique contemporain. Depuis, la plaque de cuivre est devenue une composante essentielle de l’œuvre, puisque l’artiste imprime maintenant directement dessus, renouant ainsi avec les origines mêmes du médium photographique (rappelons que Nièpce utilisa pour sa première photographie une plaque de cuivre argentée enduite de goudron).
Mais les modèles artistiques d’Elger Esser remontent à la fin du XVIè siècle, avec les peintures à l'huile sur cuivre argenté d’Adam Elsheimer (1578-1610), qui réalisa le premier ciel nocturne fidèle à la réalité à partir de ses observations de la voûte céleste au télescope (La Fuite d’Egypte, 1610, conservée à la Pinakotheck de Münich).
Dans ce projet présenté ici pour la première fois, Elger Esser se réfère donc directement au travail d'Adam Elsheimer, puisqu’il capture la photographie directement sur ce support de manière similaire. Mais son inspiration est décelable jusque dans son esthétique, avec, par exemple, l’intérêt qu’il porte aux reflets dans l’eau.
Il faut en outre relever que seuls les progrès techniques ont rendu une telle série d’œuvres possible : depuis 2016, la galvanoplastie sur plaque de cuivre et les impressions à jets d'encre sèche sont désormais réalisables. Complétant ces nouvelles techniques par l’emploi de l'intelligence artificielle, Elger Esser crée, à partir de ses images anciennes, des variations poétiques et picturales fidèles à l'abstraction du langage littéraire, alliant ainsi savamment tradition et modernité.




Fondation des Artistes
à la Fondation des Artistes
Hôtel Salomon de Rothschild
11 rue Berryer – Paris 8e
mardi-samedi 14h-18h
accès uniquement sur rendez-vous reservation@photodays.paris
Hôtel Salomon de Rothschild
11 rue Berryer – Paris 8e
mardi-samedi 14h-18h
accès uniquement sur rendez-vous reservation@photodays.paris
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→ rue du Faubourg Saint-Honoré10/11/2023 – 3/12/2023
le 11/11 à 18h30 vernissage en présence de l’artiste
accès libre sur réservation, reservation@photodays.paris
Sophie HATIER
Loin des jardins
Après avoir photographié des zones de conflits et voyagé dans de nombreux pays, Sophie Hatier s’éloigne du reportage et se concentre sur une approche plus plasticienne et sensorielle du paysage, du portrait et du vivant en général. Artiste amoureuse de la couleur, ses images sondent la limite entre le concret et l’abstrait, le point de bascule entre la photographie et la peinture.
Depuis 2016, elle poursuit une série intitulée Loin des jardins qui explore des régions en France et à l’étranger, où la nature sauvage, puissante, résiste et impose sa temporalité.
Sophie Hatier est la première artiste invitée en résidence au Château Jean Faure, partenaire de Photo Days.
Habituée aux grands espaces et aux régions très peu peuplées, cette résidence au sein d’un domaine viticole de dix-huit hectares au relief plat s’avère pour l’artiste un véritable défi photographique. Forte de sa rencontre avec l’équipe jeune et passionnée qui travaille avec minutie sur la vigne et sa transformation, Sophie Hatier arpente les lieux à toute heure et par tous les temps, afin de développer sa compréhension de l’espace. Elle installe au bord des vignes un petit studio photo utilisant la lumière naturelle pour s’emparer des tonalités émouvantes de jeunes verts, de gris délicats et de cyans joyeux du domaine, et mettre en lumière son équipe, ses raisins, suivant le rythme des saisons.
Cette exposition présente une partie de cette résidence parallèlement à un choix d’images inédites de la série Loin des Jardins (Camargue, Islande) dont certaines ont été réalisées cet été (Norvège).




we are_
www.weare.sh
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@weare.sh
73 rue du Faubourg Saint-Honoré – Paris 8e
lundi-vendredi 10h-20h
accès libre
@weare.sh
73 rue du Faubourg Saint-Honoré – Paris 8e
lundi-vendredi 10h-20h
accès libre