Centre Pompidou
→ Galerie 2, 6e étage6/9/2023 – 25/3/2024
Corps à corps
Histoire(s) de la photographie
Rassemblant plus de 500 photographies et documents réalisés par quelque 120 photographes historiques et contemporains, « Corps à corps » offre un regard inédit sur les représentations photographiques du genre humain aux 20e et 21e siècles.
L'exposition dépasse les catégories d’étude classiques telles que « le portrait », « l’autoportrait », « le nu » ou encore la photographie dite « humaniste ». Elle dévoile des particularités, des manières de voir « photographiques » et rend visibles des correspondances entre artistes.
On leur découvre des obsessions communes, dans leur façon d’appréhender le sujet, comme dans leur approche stylistique. Les images exposées nourrissent aussi des questionnements sur la responsabilité du photographe : comment la photographie participe-t-elle à la naissance des identités et à leur visibilité ? Comment raconte-elle les individualités, le rapport à l’autre ? Une rencontre entre deux collections exceptionnelles – celle, publique, du Musée national d'art moderne, Centre Pompidou, et celle, privée, du collectionneur et homme de cinéma Marin Karmitz.
L'exposition dépasse les catégories d’étude classiques telles que « le portrait », « l’autoportrait », « le nu » ou encore la photographie dite « humaniste ». Elle dévoile des particularités, des manières de voir « photographiques » et rend visibles des correspondances entre artistes.
On leur découvre des obsessions communes, dans leur façon d’appréhender le sujet, comme dans leur approche stylistique. Les images exposées nourrissent aussi des questionnements sur la responsabilité du photographe : comment la photographie participe-t-elle à la naissance des identités et à leur visibilité ? Comment raconte-elle les individualités, le rapport à l’autre ? Une rencontre entre deux collections exceptionnelles – celle, publique, du Musée national d'art moderne, Centre Pompidou, et celle, privée, du collectionneur et homme de cinéma Marin Karmitz.

Centre Georges Pompidou
www.centrepompidou.fr
instagram @centrepompidou
01 44 78 12 33
Galerie 2, étage 6
place Georges Pompidou – Paris 4e
mercredi-lundi 11h-21h
accès libre
instagram @centrepompidou
01 44 78 12 33
Galerie 2, étage 6
place Georges Pompidou – Paris 4e
mercredi-lundi 11h-21h
accès libre
Fondation Henri Cartier-Bresson
→ y aller19/9/2023 – 14/1/2024
Carolyn DRAKE
Men Untitled
Lauréate du Prix HCB 2021, Carolyn Drake présente à la Fondation Henri Cartier-Bresson MEN UNTITLED, une nouvelle série photographique explorant son rapport aux idéaux de la masculinité dans la culture américaine. Entre symboles liés à la virilité, autoportraits questionnant son propre rapport au genre et photographies d’hommes « mis à nus », MEN UNTITLED relève d’une démarche aussi introspective que documentaire.
À la suite de Knit Club (2012-2020), une série subversive sur une communauté de femmes dans une petite ville rurale au coeur du Mississippi, Carolyn Drake déplace son regard vers les hommes. Contrairement au premier projet, la photographe élargit la portée de ce travail en le dissociant d’une zone géographique spécifique. Supprimant presque tout signe distinctif lié au lieu, Carolyn Drake invite le spectateur à regarder directement les corps de ces hommes se révélant devant l’objectif de la photographe.
Carolyn Drake est partie d’un constat personnel sur sa propre relation aux hommes, à leurs corps et à la place qui leur est accordée dans la société. En se familiarisant avec ses sujets - invités à collaborer pleinement dans la réalisation de leurs portraits - la photographe finit par questionner à la fois les attentes du spectateur et ses propres perceptions.
commissariat – Clément Chéroux

19/9/2023 – 14/1/2024
Ruth ORKIN
Bike Trip, USA, 1939
Pour la première fois en France, la Fondation Henri Cartier-Bresson présente une exposition entièrement consacrée à la photographe américaine Ruth Orkin (1921- 1985). Reconnue internationalement pour la photographie intitulée American Girl in Italy (1951), image iconique d’une femme qui voyage seule, Ruth Orkin réalise, alors qu’elle est adolescente, un projet avant-coureur : la traversée des États-Unis d’ouest en est.
En 1939, alors qu’elle est âgée de 17 ans et vit chez ses parents à Los Angeles, Ruth Orkin entreprend de traverser seule les États-Unis, du Pacifique à l’Atlantique. Elle voyage à vélo, ou, pour être plus précis, avec celui-ci. Elle parcourt les longues distances en voiture, en train ou en bus, utilisant surtout sa bicyclette pour visiter les grandes villes : Chicago, Philadelphie, Washington, New York, Boston et San Francisco.
Durant quatre mois, la jeune femme réalise près de 350 photographies : des vues urbaines, beaucoup d’autoportraits et d’étonnantes compositions à travers le cadre de son vélo. Dans chacune des villes qu’elle traverse, la presse locale s’intéresse à son histoire, l’interviewe et la photographie. Grâce à cette publicité inattendue, elle est conviée partout, reçoit des invitations pour des spectacles et même un nouveau deux-roues.
Le but déclaré d’Orkin à son départ était de visiter l’Exposition universelle de New York. Mais l’aventure transcontinentale se révèlera beaucoup plus décisive. Ce sera pour elle un moment déterminant de formation et d’émancipation, vérifiant ainsi le dicton populaire selon lequel l’important n’est pas la destination, mais bien le voyage lui-même.
L’exposition rassemble une quarantaine de photographies et des documents d’archives, dont le manuscrit de Ruth Orkin sur cette aventure.
commissariat – Clément Chéroux

Fondation Henri Cartier-Bresson
www.henricartierbresson.org
instagram @fondationhcb
01 40 61 50 50
79 rue des Archives – Paris 3e
mardi-dimanche 11h-19h
10€ / tarif réduit 6€
instagram @fondationhcb
01 40 61 50 50
79 rue des Archives – Paris 3e
mardi-dimanche 11h-19h
10€ / tarif réduit 6€
Jeu de Paume
→ y aller10/10/2023 – 28/1/2024
Julia Margaret CAMERON
Capturer la beauté
Première rétrospective de cette ampleur qui lui est consacrée à Paris, Julia Margaret Cameron. Capturer la beauté dévoile une centaine de photographies, de ses premières expérimentations aux compositions historiques, littéraires ou allégoriques figuratives, en passant par une impressionnante galerie de portraits de ses contemporains. Son approche, très personnelle et si décriée en son temps, de la technique photographique, du flou aux erreurs diverses, s’est affirmée comme la marque d’un style précurseur, intégrant de manière novatrice l’imperfection et l’accident.
Originale et hors du temps, l’œuvre, réalisée en à peine une décennie, entre 1864 et 1875, représente une des plus belles illustrations du souffle épique des débuts de la photographie. L’exposition, produite par le Victoria and Albert Museum, est majoritairement constituée d’œuvres de l’artiste issues des collections du musée britannique. Pour l’étape parisienne, la seule en Europe, elle bénéficie de prêts exceptionnels de la Bibliothèque nationale de France (BnF), du musée d’Orsay et de la Maison Victor Hugo.
![© Julia Margaret CAMERON I Wait [J'attends], 1872Tirage albuminé. Collection de la Royal Photographic Society au V&A, acquise avec l'aide généreuse du National Lottery Heritage Fund et de l'Art Fund. Museum no. RPS. 1297-2017](https://freight.cargo.site/t/original/i/eef4f278f19e196272b5aaebbdd93a11d6943c12789a3784ccd86ed5932208a3/Jeu-de-Paume-A-Julia-Margaret-Cameron--I-Wait--1872.-Albumen-print.-Courtesy-Jeu-de-Paume--The-Royal-Photographic-Society.-Collection-at-the-V-A--acquired-with-the-generous-assistance-of-the-National-Lottery-Heritage-Fund-and-Art-Fund.jpg)
10/10/2023 – 28/1/2024
Victor BURGIN
Ça
Le Jeu de Paume consacre une exposition à Victor Burgin, artiste, écrivain, professeur d’université et théoricien de l’image, la première de cette importance à lui être consacrée en France. Il s’est fait connaître à la fin des années 1960 par ses contributions aux premières expositions muséales à la naissance de l’art conceptuel comme l’illustre l’exposition « Quand les attitudes deviennent forme » organisée en 1969 à la Kunsthalle de Berne.
Son travail s’attache à explorer les relations entre les images fixes, les images en mouvement et les mots, le plus souvent dans leurs fonctions narratives et sémiologiques. L’exposition Victor Burgin. Ça présente une sélection d’oeuvres de 1970 à aujourd’hui, depuis ses réalisations mêlant textes et images photographiques jusqu’à sa production actuelle de vidéos réalisées par la modélisation numérique 3D. Les oeuvres sont présentées de manière à confronter les différentes périodes de son travail faisant ressortir toute la quintessence de ses préoccupations artistiques et l’évolution de son approche.

Jeu de Paume
www.jeudepaume.org
instagram
@jeudepaumeparis
01 47 03 12 50
accueil@jeudepaume.org
1 place de la Concorde – Paris 1er
mardi-dimanche 11h-19h
10€ / tarif réduit 7€50
réservation en ligne conseillée
@jeudepaumeparis
01 47 03 12 50
accueil@jeudepaume.org
1 place de la Concorde – Paris 1er
mardi-dimanche 11h-19h
10€ / tarif réduit 7€50
réservation en ligne conseillée
La Fab.
→ y aller
3/11/2023 – 31/12/2023
le 2/11 18h-21h vernissage
Dennis MORRIS
Colored Black
Cette exposition, présentée à Kyotographie en avril 2023 avec le soutien d’agnès b., s’installe dans la Galerie du Jour à l’occasion du mois parisien de la photographie.
Celle-ci est conçue comme une expérience immersive au sein de la diaspora caribéenne de l'est Londonien des années 1960 et 1970. Après la Seconde Guerre mondiale, la Grande-Bretagne avait besoin de se reconstruire et a invité ses citoyens du Commonwealth à venir s'installer au Royaume-Uni.
De nombreux Jamaïcains ont répondu à l'appel en immigrant en Grande-Bretagne à la recherche d'une vie meilleure. Ceux qui sont arrivés des pays des Caraïbes ont été appelés la "génération Windrush".
Parmi ces immigrants, Dennis Morris, qui, jeune garçon, a voyagé avec sa mère de la Jamaïque à Londres dans les années 1960. Grâce à la chorale de son église locale et à son bienfaiteur, Donald Paterson, Morris a découvert la photographie et s'est embarqué dans un voyage remarquable, documentant son environnement et sa communauté.
La positivité, l'enthousiasme et le désir de réussir des immigrants caribéens, malgré les difficultés qu'ils ont endurées, ressortent avec force dans les photos de Morris. En effet, c'est à cette époque que ces transplantés des Caraïbes sont passés du statut de "personnes de couleur" à celui de Noirs, avec fierté et défi.



La Fab. / galerie du jour agnès b.
www.la-fab.com
@la_fab_officiel
contact.fonds@agnesb.fr
01 87 44 35 73
6-10 place Jean-Michel Basquiat – Paris 13e
mercredi-samedi 11h-19h / dimanche 14h-19h
accès libre
@la_fab_officiel
contact.fonds@agnesb.fr
01 87 44 35 73
6-10 place Jean-Michel Basquiat – Paris 13e
mercredi-samedi 11h-19h / dimanche 14h-19h
accès libre
LE BAL
→ y aller12/10/2023 – 25/2/2024
À partir d’elle.
Des artistes et leur mère
D’octobre 2023 à février 2024, LE BAL présentera une exposition collective dédiée au regard que posent les artistes sur leur mère. Le corpus d’œuvres choisi, qui s’étend des années 1960 jusqu’à nos jours, revient sur les travaux de 26 artistes dont Sophie Calle, Christian Boltanski, Michel Journiac, Anri Sala ou encore Lebohang Kganye. Dépassant le pur témoignage d’une relation intime inévitablement singulière, ces œuvres sont construites à partir de dispositifs formels et conceptuels impliquant le corps, la figure ou le personnage de la mère dans le processus créatif. Qu’elles cherchent à incarner la réalité de la présence ou les effets de l’absence, toutes ont en commun de considérer la filiation comme une manière de repenser les relations archétypales, entre critique sociale, quête de soi, conjuration ou apaisement.
26 artistes présentés dont :
Sophie CALLE / Christian BOLTANSKI / Michel JOURNIAL / Anri SALA / Lebohang KGANYE




LE BAL
www.le-bal.fr
instagram @le_bal
01 44 70 75 50
contact@le-bal.fr
6 impasse de la Défense – Paris 18e
mercredi 12h-20h / jeudi-dimanche 12h-19h
8€ / 6€
réservation conseillée
instagram @le_bal
01 44 70 75 50
contact@le-bal.fr
6 impasse de la Défense – Paris 18e
mercredi 12h-20h / jeudi-dimanche 12h-19h
8€ / 6€
réservation conseillée