PLACE À LA PHOTO !
DU 3 NOV AU 3 DÉC 2023
À PARIS ET EN ÎLE-DE-FRANCE

Photo Days

Galerie XII

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6/11/2023 – 13/1/2024
le 7/11 dès 18h    vernissage en présence de l'artiste

Mona KUHN

Kings Road



Galerie XII Paris a le plaisir d’annoncer la nouvelle exposition personnelle de Mona Kuhn, KINGS ROAD dont l’ouverture coïncidera avec Paris Photo.

L’exposition comprend des photographies, une projection vidéo et une installation sonore.
Cette première exposition en galerie a été précédée par une série d’expositions muséales aux Etats-Unis (Art, Design & Architecture Museum UCLA Santa Barbara, USA) et en Europe, notamment une installation sur trois étages au Kunsthaus-Göttingen (Allemagne) organisée par Gerhard Steidl en avril 2023.
Ces expositions, avec leur installation multimédia et sonore, repoussent les limites de la présentation de la photographie et de l’architecture.

Depuis plus de 20 ans, Mona Kuhn utilise la photographie et l’art médiatique pour réexaminer le discours figuratif autour de la présence physique et métaphysique dans la figure humaine. À travers son objectif, Kuhn invite les spectateurs à contempler les subtilités de notre existence, dévoilant les profondeurs cachées de notre humanité commune. Pour sa dernière exposition, Kings Road, Mona Kuhn a pris les sujets de l’amour et du destin comme son principal sujet d’étude. La série se situe à la Kings Road House, construite par l’architecte Rudolph Schindler en 1922 à West Hollywood.





Galerie XII

www.galeriexii.com

instagram @galerie_xii

01 42 78 24 21
paris@galeriexii.com

10 et 14 rue des Jardins Saint-Paul – Paris 4e
mercredi-vendredi 14h-19h / samedi 12h-19h / et sur rdv

accès libre


193 Gallery

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14/10/2023 – 30/12/2023
le 14/10 16h-21h   vernissage

Thandiwe MURIU

You Thought You Could Throw Me Away



La perception de l'autre et son traitement dans un espace mondialisé est une des pierres angulaires de notre société. Les images ont autant de poids que les plus grands discours. Bien souvent, elles participent même à la légitimation de certains comportements.

Pour les différentes générations du XXIème siècle, l'Afrique a toujours été représentée comme un sous continent. Ceux qui le peuple sont déshumanisés, réduit à des enfants pauvres couverts de mouches ou au mieux portés en trophets, glorifiant les exemples de ceux qui rencontrent le succès une fois arrivés (et acceptés) en occident. Mais ce mécanisme de la pitié, du récit unique voire souvent de la diabolisation, produit inlassablement une distorsion de la réalité. Il y a quelque chose de frustrant à ne jamais être la norme dans un monde ou ce terme semble désormais vide de sens. De plus, cette frustration ne peut qu'être renforcée lorsque l'on est dépossédé de son propre récit.

Mais là est la force de Thandiwe Muriu. Un parcours atypique, brisant les normes de son pays et les attendus de la "grande carrière artistique", tout en racontant la beauté de sa réalité. You thought you could throw me away présente ainsi en différents chapitres les éléments qui rendent iconique le travail de l'artiste. Ses travaux poussent le spectateur à examiner sous un angle nouveau les concepts d'identité et de la libre expression, en explorant ce que signifie être une femme forte et moderne. Car en partant de sa propre expérience, l'artiste kenyane s'adresse finalement aux femmes du monde entier. En effet, s'il y a bien un sujet commun de toute les exigences, attentes, critiques et discours volés, il s'agit bien de la Femme. En seulement 3 ans, la jeune photographe fait reconnaitre une identité vibrante incontournable et entre ainsi dans la lignée de celles et ceux qui contribuent à la reconquête du récit africain et de son image.



193 Gallery

www.193gallery.com

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06 03 70 78 26

24 rue Béranger – Paris 3e
mardi-samedi 10h-19h / et sur rdv

accès libre

Alain Gutharc

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18/11/2023 – 23/12/2023
le 18/11 à 18h

Guillaume JANOT

New Paradise



Exposition personnelle de Guillaume Janot sous le commissariat de François Piron.





Galerie Alain Gutharc

www.alaingutharc.com

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@galeriealaingutharc

01 47 00 32 10
contact@alaingutharc.com

7 rue Saint-Claude – Paris 3e
mardi-samedi 11h-13h puis 14h-19h / et sur rdv

accès libre

Angalia

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10/11/2023 – 23/11/2023
9/11 dès 17h    vernissage en présence de l'artiste

Gaël MASKI

L'étoffe des rêves



Le travail de Gaël Maski est basé sur une expérience personnelle : durant ses jeunes années, pour supporter la dureté de la vie à Kinshasa, il s'inventait un monde imaginaire. Seule l'évasion lui offrait un répit régénérateur. Devenu artiste, il n’a rien oublié : il s’intéresse aux désargentés, qu’on qualifierait de marginalisés s’ils ne constituaient en réalité une catégorie sociale majoritaire, et il les met en scène en mêlant l’imaginaire au réel. Il le fait au moyen de photos qu’il réalise, imprime, découpe et recompose par le collage, puis il enrichit ses scènes de symboles et d’allégories. Sur cette base, qui constitue le tronc commun de son travail, Gaël varie les propos, les atmosphères et les couleurs. Casseurs de pierre, petits vendeurs de rues, travailleurs honteux, tous ont en commun d’être les « véritables héros du quotidien », car ils réalisent effectivement des prouesses pour subvenir aux besoins de la famille. Parmi ses personnages, beaucoup sont camouflés sous d’amples foulards qui les anonymisent et symbolise le mystère de leur existence.

« L’étoffe des rêves » sera la toute première exposition individuelle de Gaël Maski en Europe.





Galerie Angalia

Galerie de l’Angle

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9/11/2023 – 12/11/2023
le 9/11 dès 18h   vernissage en présence de l'artiste

Mathilde DE L'ECOTAIS

Kínêma, cyanotypes en mouvement



A la croisée des chemins entre la peinture et la photographie, Mathilde de l’Ecotais peint dans sa chambre noire l’émulsion puis elle insole ces traces photo-réactives avec des négatifs. chaque tirage varient au gré de la lumière et de l’hygrométrie. Preuve que rie n’est immuable, et que l’homme ne peut tout contrôler. Kinema, est le symbole de la vie. Ode à la Nature et au progrès, les cyanotypes de Mathilde de l’Ecotais dévoilent une confrontation subtile du réel et de l’irréel, imbriqués l’un dans l’autre comme dans un corps, preuve que le vivant avec ses 3,8 milliards d’années de recherche et développement continue à montrer la voie. Amoureuse du progrès technique et technologique partie intégrante de ses créations, fascinée par les premiers procédés de la photographie, Mathilde de l’Ecotais pousse les curseurs et multiplie les expériences pour obtenir des oeuvres vivantes, uniques non duplicables.

« L’image et la Nature sont la souche essentielle de ma création »

Mathilde de l’Ecotais




Galerie de l’Angle

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