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UNE VIRÉE PHOTOGRAPHIQUE DANS PARIS
DU 4 DÉCEMBRE 2020 AU 6 FÉVRIER 2021
Photo Days


La Galerie Rouge

→ y aller


2/4/2021 – 13/6/2021

Maya MERCER / Emmanuelle BOUSQUET

Le Feu intérieur



À partir du 2 avril et jusqu’au 13 juin 2021, La Galerie Rouge présente le travail de deux femmes artistes, engagées et poétesses : Maya Mercer et Emmanuelle Bousquet.

Dans l’exposition Le feu intérieur, traduction d’un titre d’une photographie de Maya Mercer qui fait référence à l’oeuvre littéraire de Carlos Castaneda The fire from within, les oeuvres présentées nous racontent ce que ces deux artistes ont su créer pendant l’année 2020, par le feu intérieur de la création.





(reporté)
dans La Petite Nef

Sandra ELETA

L’âme de Portobelo



Dans La Petite Nef de la galerie, nous présenterons les oeuvres de Sandra Eleta, réalisées au Panama dans les années 1970, exposition intitulée "L'âme de Portobello".
Photographe panaméenne ayant étudié à New York, au Finch College en histoire de l’art et au Centre International de la Photographie, Sandra Eleta vit et travaille à Portobelo au Panamá. Elle fait ses premiers travaux photographiques au sein d’une coopérative de photographes issus de différentes nationalités dans les années 60, où chaque photographe est chargé de réaliser des reportages sur différents thèmes de son pays respectif.
Dans les années 1972 et 1973, elle donne des cours de photographie dans une université publique du Costa Rica. Elle déménage en 1974 au Panama, et s’installe à Portobelo, où elle se consacre à développer son travail de photographe indépendante. Elle réalise entre 1977 et 1981 son travail le plus célèbre: la publication de Portobelo, un livre sur la vie au quotidien dans cette ville, elle y intègre les textes de la photographe guatémaltèque Maria Christina Orive ainsi que d’écrivains panaméens Edgar Torchia et Edison Simons. Très attachée à Portobelo et à son histoire, ses sujets de prédilections sont les populations et leurs traditions. 




La Galerie Rouge

2/4    vernissage Le Feu Intérieur

Expositions passées

jusqu’au  28/2/2021

Jennifer ABESSIRA / Simon BIRMAN / Manuel ÁLVAREZ BRAVO / Annabel AOUN BLANCO / Maria Elena BONET / Édouard BOUBAT / Emmanuelle BOUSQUET / François DELEBECQUE / Gilles DELMAS / Jean-Pierre EVRARD / Jean-Michel FAUQUET / Tristan HOLLINGSWORTH / Ariko INAOKA / Sean LOTMAN / Hiro MATSUOKA / Alexandre DE MORTEMART / Christoph SPEISER

Correspondances



La Galerie Rouge présente l’exposition collective « Correspondances » qui s’intéresse aux oeuvres d’artistes utilisant la photographie associée à d’autres disciplines telles que la peinture, le dessin, le cinéma, la littérature, la vidéo, la performance.





(reporté)

Martine BARRAT / Jean-Michel FAUQUET

Résonances et Dissonances



La Galerie Rouge présente l’exposition Résonances et Dissonances : une mise en regard du travail de Martine Barrat aux Etats-Unis dans les années 1980 et des travaux récents de Jean-Michel Fauquet. Il s’agit, au travers de la confrontation de deux artistes aux univers si différents, d’explorer, au-delà d’une esthétique personnelle forte aux processus de création opposés, les liens qui subsistent entre eux.
Le travail de Martine Barrat, photographie classique et humaniste, a la particularité de s’inscrire dans la durée : durée du rapport qu’elle développe avec ses sujets et l’intimité qui en découle – sujets devenus amis que l’on voit grandir ou vieillir au fil des années – et la force d’un regard politique et engagé.
Jean-Michel Fauquet, photographe plasticien mêle quant à lui la peinture, le dessin, la construction d’objets à la photographie. Cette approche diffère de celle de Martine Barrat tant par son sujet, qui est un monde inventé, que par son traitement artistique. Pour autant, il travaille comme elle sur une temporalité distendue– il explore les mêmes motifs et les mêmes thèmes, ses « obsessions » depuis les années 1970 – et traite de l’intime en mettant en avant une approche psychanalytique de son oeuvre. Comme pour Martine Barrat, le propos se veut aussi politique. A travers ses oeuvres il dit « prendre le pouls du chaos du monde ».





(reporté)
dans La Petite Nef

Sandra ELETA

L’âme de Portobelo



Dans La Petite Nef de la galerie, nous présenterons les oeuvres de Sandra Eleta, réalisées au Panama dans les années 1970, exposition intitulée "L'âme de Portobello".
Photographe panaméenne ayant étudié à New York, au Finch College en histoire de l’art et au Centre International de la Photographie, Sandra Eleta vit et travaille à Portobelo au Panamá. Elle fait ses premiers travaux photographiques au sein d’une coopérative de photographes issus de différentes nationalités dans les années 60, où chaque photographe est chargé de réaliser des reportages sur différents thèmes de son pays respectif.
Dans les années 1972 et 1973, elle donne des cours de photographie dans une université publique du Costa Rica. Elle déménage en 1974 au Panama, et s’installe à Portobelo, où elle se consacre à développer son travail de photographe indépendante. Elle réalise entre 1977 et 1981 son travail le plus célèbre: la publication de Portobelo, un livre sur la vie au quotidien dans cette ville, elle y intègre les textes de la photographe guatémaltèque Maria Christina Orive ainsi que d’écrivains panaméens Edgar Torchia et Edison Simons. Très attachée à Portobelo et à son histoire, ses sujets de prédilections sont les populations et leurs traditions. 


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