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UNE VIRÉE PHOTOGRAPHIQUE DANS PARIS
DU 4 DÉCEMBRE 2020 AU 6 FÉVRIER 2021
Photo Days


Galerie Écho

(ex Galerie &co119)
→ y aller


1/12/2020 – 20/3/2021

Achim DUCHOW / Irina IONESCO / Chloé JAFÉ / Akimitsu TAKAGI / Hitomi WATANABE

Irezumi, l’art du tatouage japonais



L’exposition présentera cinq artistes de différents horizons :

Achim Duchow, artiste peintre et photographe allemand. Entre 1979 et 1982, il a photographié la vie de Tokyo et d'Osaka et s'est plongé dans certaines de leurs sous-cultures telles que les yakuza (mafia japonaise) et les Bosozoku (gangs de motards).

Irina Ionesco, photographe d'origine roumaine se rend en 1996 à Tokyo. L'un de ses éditeurs l’introduit auprès de yakuza qui se prêtent à son jeu dans un onsen (bains japonais) le temps d’un après-midi.

Chloé Jafé, photographe française s’installe à Tokyo en 2014. Elle y fait la rencontre d’un chef yakuza de Tokyo qui l’autorise à photographier son quotidien pendant six ans. Elle s’intéresse alors plus particulièrement aux épouses, maitresses et gardes du corps.

Akimitsu Takagi, écrivain japonais de romans policiers et photographe. Passionné d’Irezumi, il documente dans les années 1950 à Tokyo ce milieu confidentiel. Inconnues jusqu’en 2017, ces images sont découvertes par le journaliste Pascal Bagot, expert en tatouage japonais.

Hitomi Watanabe, photographe japonaise. À la fin des années 60, elle fit la connaissance d'un groupe de tekiya (marchands ambulants) d'un festival local. Ces tekiya sont des itinérants parcourant plusieurs milliers de kilomètres par an. Watanabe les a suivis pendant trois ans. Par le prisme de leurs cultures respectives, chacun d’eux nous dévoile un regard singulier sur le tatouage japonais.

Beaucoup fantasmé et admiré en Occident, l’Irezumi reste cependant peu accepté et tabou au Japon. Y avoir le corps marqué par l'encre, reste de nos jours, encore associé à l'identité de la mafia japonaise (yakuza) plutôt qu’à un art propre.




Galerie Écho

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